Les femmes transformatrices des produits locaux veulent mettre en place, à Saint-Louis, une centrale d'achat qui devrait leur permettre de gagner du temps dans leurs activités et de faire des économies en évitant les multiples déplacements vers Dakar.
''Une centrale d'achat serait un catalyseur important de nos activités'', a dit Mame Mbeugué Seck de l'Association régionale des institutions mutualistes des femmes (IMF) interrogée par la presse, mardi 27 décembre, sur les difficultés rencontrées par ses soeurs s'activant dans divers domaines de la transformation des fruits aux produits halieutiques.
Selon elle, la ville ne compte qu'un seul magasin de vente des emballages et en cas de pénurie, les femmes sont obligées d'aller jusqu'à Dakar pour s'approvisionner. Elle estime aussi qu'une coopérative regroupant toutes les associations de femmes intéressées serait judicieuse et diminuerait les coûts.
''Les femmes sont confrontées également à un problème de formation en marketing et gestion. Elles ont tendance à solliciter en même temps des crédits dans des structures mutualistes différentes. Ce qui leur pose un problème'', a expliqué Mme Seck, plaidant pour une solution à ce phénomène par une centralisation des activités mutualistes.
Quant au directeur de l'Agence pour le développement de la commune (ADC) Demba Niang, il a rappelé qu'à l'origine de cet atelier, il y a le partenariat noué depuis 2000 entre sa structure, le Programme élargi de lutte contre la pauvreté (PELCP) et les conseils de quartier de Khor et Eaux Claires-Diaminar.
Ensuite, a-t-il rappelé, fut mise en place l'union de groupements de promotion féminine qui va donner naissance à la première structure de microfinance de Saint-Louis dénommée "Suxali Jigeenu Ndar".
''Une centrale d'achat serait un catalyseur important de nos activités'', a dit Mame Mbeugué Seck de l'Association régionale des institutions mutualistes des femmes (IMF) interrogée par la presse, mardi 27 décembre, sur les difficultés rencontrées par ses soeurs s'activant dans divers domaines de la transformation des fruits aux produits halieutiques.
Selon elle, la ville ne compte qu'un seul magasin de vente des emballages et en cas de pénurie, les femmes sont obligées d'aller jusqu'à Dakar pour s'approvisionner. Elle estime aussi qu'une coopérative regroupant toutes les associations de femmes intéressées serait judicieuse et diminuerait les coûts.
''Les femmes sont confrontées également à un problème de formation en marketing et gestion. Elles ont tendance à solliciter en même temps des crédits dans des structures mutualistes différentes. Ce qui leur pose un problème'', a expliqué Mme Seck, plaidant pour une solution à ce phénomène par une centralisation des activités mutualistes.
Quant au directeur de l'Agence pour le développement de la commune (ADC) Demba Niang, il a rappelé qu'à l'origine de cet atelier, il y a le partenariat noué depuis 2000 entre sa structure, le Programme élargi de lutte contre la pauvreté (PELCP) et les conseils de quartier de Khor et Eaux Claires-Diaminar.
Ensuite, a-t-il rappelé, fut mise en place l'union de groupements de promotion féminine qui va donner naissance à la première structure de microfinance de Saint-Louis dénommée "Suxali Jigeenu Ndar".