
Le Centre d’excellence africain en mathématiques, informatique et TIC (CEA-MITIC) de l’Université Gaston Berger (UGB) a abrité vendredi le lancement du projet de recherche pour la mise en place d’un système d’alerte précoce pour prévenir la maladie de la vallée du rift (AIRFARE-EWS). Financée par la coopération canadienne pour une durée de 18 mois, cette initiative exploitera les avancées technologiques, notamment l'intelligence artificielle, afin de détecter les premiers signaux d'épidémie et de prévenir la propagation de cette maladie.
"L’outil que nous développerons nous permettra de mieux cerner les alertes précoces et d’agir rapidement face à ce fléau", a déclaré Dame DIONGUE, enseignant-chercheur à l’Institut polytechnique de Saint-Louis (IPSL) à l’issue d’une rencontre à laquelle des représentants d’organisateurs d’éleveurs de la vallée, ont pris part.
Il a souligné l'importance d'utiliser l'intelligence artificielle pour surveiller à la fois la dynamique des vecteurs de la maladie et les conditions climatiques propices à son développement. Un des points clés du projet est la formation des éleveurs, qui seront encouragés à signaler les premiers signes d'infection. Ces alertes précoces à la base permettront aux autorités sanitaires de réagir rapidement pour éviter une propagation de la maladie.
« Les avancées technologiques facilitent également cette collaboration. Le fort taux de pénétration des téléphones mobiles au Sénégal permet aux éleveurs d'utiliser des plateformes de communication comme WhatsApp pour faire remonter des informations, que ce soit via des photos ou des messages vocaux », a expliqué l’enseignant-chercheur. Il a par ailleurs annoncé la mise en place d’une application spécifique sera mise à leur disposition pour centraliser ces alertes.
"L’outil que nous développerons nous permettra de mieux cerner les alertes précoces et d’agir rapidement face à ce fléau", a déclaré Dame DIONGUE, enseignant-chercheur à l’Institut polytechnique de Saint-Louis (IPSL) à l’issue d’une rencontre à laquelle des représentants d’organisateurs d’éleveurs de la vallée, ont pris part.
Il a souligné l'importance d'utiliser l'intelligence artificielle pour surveiller à la fois la dynamique des vecteurs de la maladie et les conditions climatiques propices à son développement. Un des points clés du projet est la formation des éleveurs, qui seront encouragés à signaler les premiers signes d'infection. Ces alertes précoces à la base permettront aux autorités sanitaires de réagir rapidement pour éviter une propagation de la maladie.
« Les avancées technologiques facilitent également cette collaboration. Le fort taux de pénétration des téléphones mobiles au Sénégal permet aux éleveurs d'utiliser des plateformes de communication comme WhatsApp pour faire remonter des informations, que ce soit via des photos ou des messages vocaux », a expliqué l’enseignant-chercheur. Il a par ailleurs annoncé la mise en place d’une application spécifique sera mise à leur disposition pour centraliser ces alertes.