Un atelier de partage et de sensibilisation sur la réforme de l’assurance maladie obligatoire et son extension à tous les travailleurs, s’est ouvert jeudi à Saint-Louis (nord), a constaté l’APS.
Des inspecteurs du travail, des responsables d’IPM et des syndicalistes prennent part à cette rencontre, en présence du chef de la division des institutions de prévoyance maladie, au ministère du Travail et de la Sécurité sociale, Amady Moustapha Amar.
L’atelier a pour objectif de partager et de sensibiliser les acteurs sur la réforme juridique adoptée depuis 2012, avec la réactualisation des textes qui régissent les IPM au Sénégal, a expliqué M. Amar.
Selon lui, il s’agira aussi de partager avec les acteurs, la réforme institutionnelle, avec la mise place de l’institution de coordination de l’assurance maladie obligatoire (ICAMO), ainsi que "l’extension de la couverture maladie aux travailleurs non permanents".
La réforme de la gouvernance à travers la mise sur pied du fonds de garantie et de solidarité des IPM, l’amélioration des outils et méthodes des IPM et le renforcement des capacités des acteurs, pour une réadaptation des paramètres techniques des IPM, seront également partagés lors de cet atelier, a-t-il ajouté.
Moustapha Amar a évoqué les lacunes constatées pour bien mener ces réformes, notamment "une obsolescence des nombreux points du cadre réglementaire, les limites notées dans la gouvernance des IPM, l’absence de coordination et de solidarité entre les différentes IPM du Sénégal".
Ainsi, a-t-il signalé, les autorités publiques ont jugé nécessaire de conduire cette réforme, afin de relever les paramètres techniques des cotisations et la prise en charge des IPM "pour la bonne gestion et l’extension de cette couverture maladie obligatoire".
Selon les données de 2018, la région de Saint-Louis compte 2300 travailleurs bénéficiaires, a indiqué le chef de division des institutions de prévoyance maladie. La région de Louga dotée d’une IPM a 213 bénéficiaires, alors que la région de Matam compte aujourd’hui une seule institution, a-t-il fait savoir.
A l’issue de l’atelier, il s’agira de sensibiliser les acteurs des IPM existantes sur la nouvelle réglementation en vigueur, de les accompagner pour la mise en conformité, mais également de favoriser la création d’IPM et d’affiliation des travailleurs.
APS
Des inspecteurs du travail, des responsables d’IPM et des syndicalistes prennent part à cette rencontre, en présence du chef de la division des institutions de prévoyance maladie, au ministère du Travail et de la Sécurité sociale, Amady Moustapha Amar.
L’atelier a pour objectif de partager et de sensibiliser les acteurs sur la réforme juridique adoptée depuis 2012, avec la réactualisation des textes qui régissent les IPM au Sénégal, a expliqué M. Amar.
Selon lui, il s’agira aussi de partager avec les acteurs, la réforme institutionnelle, avec la mise place de l’institution de coordination de l’assurance maladie obligatoire (ICAMO), ainsi que "l’extension de la couverture maladie aux travailleurs non permanents".
La réforme de la gouvernance à travers la mise sur pied du fonds de garantie et de solidarité des IPM, l’amélioration des outils et méthodes des IPM et le renforcement des capacités des acteurs, pour une réadaptation des paramètres techniques des IPM, seront également partagés lors de cet atelier, a-t-il ajouté.
Moustapha Amar a évoqué les lacunes constatées pour bien mener ces réformes, notamment "une obsolescence des nombreux points du cadre réglementaire, les limites notées dans la gouvernance des IPM, l’absence de coordination et de solidarité entre les différentes IPM du Sénégal".
Ainsi, a-t-il signalé, les autorités publiques ont jugé nécessaire de conduire cette réforme, afin de relever les paramètres techniques des cotisations et la prise en charge des IPM "pour la bonne gestion et l’extension de cette couverture maladie obligatoire".
Selon les données de 2018, la région de Saint-Louis compte 2300 travailleurs bénéficiaires, a indiqué le chef de division des institutions de prévoyance maladie. La région de Louga dotée d’une IPM a 213 bénéficiaires, alors que la région de Matam compte aujourd’hui une seule institution, a-t-il fait savoir.
A l’issue de l’atelier, il s’agira de sensibiliser les acteurs des IPM existantes sur la nouvelle réglementation en vigueur, de les accompagner pour la mise en conformité, mais également de favoriser la création d’IPM et d’affiliation des travailleurs.
APS