Le ministre de la Pêche et des Affaires maritimes, Pape Diouf, a affirmé jeudi que la ville de Saint-Louis (nord) sera sous peu le premier centre de pêche du Sénégal, avec l’achèvement des projets en cours dont celui du port fluvio-maritime.
M. Diouf visitait, en compagnie de trois de ses homologues, un projet financé par la coopération espagnole en faveur des femmes transformatrices des produits halieutiques de Guet-Ndar, qui évoluaient dans des conditions de salubrité déplorables.
‘’Bientôt, Saint-Louis sera le premier centre de pêche du Sénégal’’, a dit M. Diouf, parlant de ce port qui va permettre d’accueillir de gros navires de pêche et l’exportation grâce aux investissements additionnels pour une misse aux normes des infrastructures.
Le Ministre a annoncé que des infrastructures similaires seront réalisées dans toutes les zones de pêche pour développer ce secteur, où l’Espagne s’est signalé par un appui conséquent depuis des années.
M. Diouf, qui s’était récemment rendu à Saint-Louis pour une visite qui l’avait conduit sur ce site, s’est de nouveau dit fier face de cette réalisation, qui prend en compte les préoccupations du gouvernement de répondre aux besoins des populations à la base.
Cristinia Follana, la déléguée nationale de la Fondation Habitafrica, l’ONG espagnole qui a financé ce projet, a rappelé les raisons qui ont poussé l’Espagne à investir à Dakar où les femmes transformatrice évoluaient dans des conditions de salubrité insoutenables.
‘’Face à ce contexte peu reluisant, Habitafrica a inscrit son intervention en direction de la réduction de l’insalubrité liée à l’activité de pêche, l’amélioration des conditions de travail, l’augmentation des capacités économiques des acteurs du sous-secteur et l’amélioration de l’habitabilité de base dans le quartier de Guet-Ndar’’, a dit Mme Follana.
Selon elle, avec cette infrastructure, le pari est aujourd’hui pratiquement réussi avec des conditions de production, d’organisation, d’hygiène de commercialisation et d’accès au financement des femmes améliorées.
Le résultat a donné un bâtiment équipé de 768 claies de séchage, 500 bacs et 88 fours.
S’y ajoute des masques, des gants, des râteaux et l’accès des femmes transformatrices aux ressources financières.
Elle a indiqué qu’une somme de 21 millions francs CFA a été octroyée aux femmes dans des conditions de remboursement allégées.
Le maire de Saint-Louis, Cheikh Bamba Dièye, également ministre de l’Aménagement du territoire et des Collectivités locales, le ministre de l’Elevage, Aminata Mbengue Ndiaye, le ministre de la Femme et de l’Action sociale Mariama Sarr et l’ambassadrice d’Espagne Cristiana Diaz Fernandez-Gil ont assisté à la cérémonie.
M. Diouf visitait, en compagnie de trois de ses homologues, un projet financé par la coopération espagnole en faveur des femmes transformatrices des produits halieutiques de Guet-Ndar, qui évoluaient dans des conditions de salubrité déplorables.
‘’Bientôt, Saint-Louis sera le premier centre de pêche du Sénégal’’, a dit M. Diouf, parlant de ce port qui va permettre d’accueillir de gros navires de pêche et l’exportation grâce aux investissements additionnels pour une misse aux normes des infrastructures.
Le Ministre a annoncé que des infrastructures similaires seront réalisées dans toutes les zones de pêche pour développer ce secteur, où l’Espagne s’est signalé par un appui conséquent depuis des années.
M. Diouf, qui s’était récemment rendu à Saint-Louis pour une visite qui l’avait conduit sur ce site, s’est de nouveau dit fier face de cette réalisation, qui prend en compte les préoccupations du gouvernement de répondre aux besoins des populations à la base.
Cristinia Follana, la déléguée nationale de la Fondation Habitafrica, l’ONG espagnole qui a financé ce projet, a rappelé les raisons qui ont poussé l’Espagne à investir à Dakar où les femmes transformatrice évoluaient dans des conditions de salubrité insoutenables.
‘’Face à ce contexte peu reluisant, Habitafrica a inscrit son intervention en direction de la réduction de l’insalubrité liée à l’activité de pêche, l’amélioration des conditions de travail, l’augmentation des capacités économiques des acteurs du sous-secteur et l’amélioration de l’habitabilité de base dans le quartier de Guet-Ndar’’, a dit Mme Follana.
Selon elle, avec cette infrastructure, le pari est aujourd’hui pratiquement réussi avec des conditions de production, d’organisation, d’hygiène de commercialisation et d’accès au financement des femmes améliorées.
Le résultat a donné un bâtiment équipé de 768 claies de séchage, 500 bacs et 88 fours.
S’y ajoute des masques, des gants, des râteaux et l’accès des femmes transformatrices aux ressources financières.
Elle a indiqué qu’une somme de 21 millions francs CFA a été octroyée aux femmes dans des conditions de remboursement allégées.
Le maire de Saint-Louis, Cheikh Bamba Dièye, également ministre de l’Aménagement du territoire et des Collectivités locales, le ministre de l’Elevage, Aminata Mbengue Ndiaye, le ministre de la Femme et de l’Action sociale Mariama Sarr et l’ambassadrice d’Espagne Cristiana Diaz Fernandez-Gil ont assisté à la cérémonie.