Samba SARR, artiste plasticien de Saint-Louis, retrace l’histoire de Moussa Bakary SARR, fondateur du village de Ngaolé et sa fille Penda SARR à travers une exposition itinérante qui associe des fresques historiques aux mélodieux chants traditionnels « Thioubalo ».
Pour lui, ce voyage culturel est doublement symbolique. « Penda SARR a marqué ses empreintes, car elle a non seulement servi à la société, mais aussi elle nous a permis de comprendre l’authenticité de nos valeurs culturelles », confie l’initiateur du concept « For Sopi ».
Après les escales à Podor (15 février), à Fanaye (22 février) et à Dagana (le 29), la seconde édition de cette expo va s’installer à Saint-Louis, le 08 mars et prévoit un vernissage rythmé, le 09. À cette occasion, tous les pans de la culture de Ngaolé et de ses environs y seront étalés.
Penda SARR « avait habitude d’aller se baigner au fleuve chaque après-midi. Elle y allait souvent avec ses copines. Un jour, elle disparut miraculeusement dans l’eau à l’insu de ses amies. Lorsqu’elles prirent conscience de sa disparation, il faisait tard. Elles ramassèrent ses habits et partirent raconter la nouvelle à son père. Nullement inquiet, celui-ci était déjà au courant de la disparition. Moussa Bakary SARR savait que sa fille était saine et sauve et qu’elle était retenue aux fonds des eaux par les sirènes. Au moment où les villageois aillaient perdre tout espoir de la retrouver, Panda SARR réapparut miraculeusement comme était partie. C’est de cette aventure que ses copines la surnommèrent Penda la fille des eaux », raconte l’artiste et petit-fils du légendaire personnage.
« Elle était connue un peu partout à travers le monde des eaux et même au-delà, des assoiffés de savoir, des curieux et des savants tentaient de se mesurer à elle. Mais, elle domina toute la scène ésotérique durant toute sa vie », renseigne M. SARR.
NDARINFO.COM
Pour lui, ce voyage culturel est doublement symbolique. « Penda SARR a marqué ses empreintes, car elle a non seulement servi à la société, mais aussi elle nous a permis de comprendre l’authenticité de nos valeurs culturelles », confie l’initiateur du concept « For Sopi ».
Après les escales à Podor (15 février), à Fanaye (22 février) et à Dagana (le 29), la seconde édition de cette expo va s’installer à Saint-Louis, le 08 mars et prévoit un vernissage rythmé, le 09. À cette occasion, tous les pans de la culture de Ngaolé et de ses environs y seront étalés.
Penda SARR « avait habitude d’aller se baigner au fleuve chaque après-midi. Elle y allait souvent avec ses copines. Un jour, elle disparut miraculeusement dans l’eau à l’insu de ses amies. Lorsqu’elles prirent conscience de sa disparation, il faisait tard. Elles ramassèrent ses habits et partirent raconter la nouvelle à son père. Nullement inquiet, celui-ci était déjà au courant de la disparition. Moussa Bakary SARR savait que sa fille était saine et sauve et qu’elle était retenue aux fonds des eaux par les sirènes. Au moment où les villageois aillaient perdre tout espoir de la retrouver, Panda SARR réapparut miraculeusement comme était partie. C’est de cette aventure que ses copines la surnommèrent Penda la fille des eaux », raconte l’artiste et petit-fils du légendaire personnage.
« Elle était connue un peu partout à travers le monde des eaux et même au-delà, des assoiffés de savoir, des curieux et des savants tentaient de se mesurer à elle. Mais, elle domina toute la scène ésotérique durant toute sa vie », renseigne M. SARR.
NDARINFO.COM