L’ambassadeur du Japon au Sénégal, Takashi Kitahara, a réitéré, mardi, la disponibilité de son pays à accompagner l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) dans son projet de réhabilitation du barrage anti-sel de Diama qui joue un rôle important dans l’alimentation en eau et l’irrigation des terres des pays membres.
‘’Le Japon est prêt à soutenir toute initiative allant dans le sens d’accompagner l’OMVS’’, a dit M. Kitahara, à l’issue de sa visite au barrage de Diama. Il s’est dit impressionné par l’ouvrage hydraulique et par son niveau d’entretien.
Selon lui, ‘’il était important de venir sur place pour mieux comprendre son fonctionnement et le rôle qu’il joue sur tous les plans pour le développement des pays membres et notamment du Sénégal pays cité en exemple pour sa stabilité démocratique’’.
Quant au directeur général de la Société de gestion du barrage de Diama, Tamsir Ndiaye, il a salué l’intérêt manifesté par le Japon pour le barrage de Diama qui a, selon lui, ''un besoin urgent de réhabilitation''.
D’ailleurs la Banque mondiale a déjà mis sur la table 5 milliards de francs sur les 30 milliards destinés à financer ce programme de réhabilitation de l’infrastructure hydraulique.
Le conseiller technique du ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Babacar Ndao, coordonnateur de la cellule OMVS/OMVG, a mis l’accent sur la nécessité de réhabiliter ce barrage, en perspective de l’augmentation des surfaces aménagées en plus de son rôle d’alimentation en eau de Nouakchott (100 pour 100) et de certaines villes du Sénégal.
Selon lui, le programme en vue englobe aussi des endiguements dans la vallée pour booster la production agricole.
APS
‘’Le Japon est prêt à soutenir toute initiative allant dans le sens d’accompagner l’OMVS’’, a dit M. Kitahara, à l’issue de sa visite au barrage de Diama. Il s’est dit impressionné par l’ouvrage hydraulique et par son niveau d’entretien.
Selon lui, ‘’il était important de venir sur place pour mieux comprendre son fonctionnement et le rôle qu’il joue sur tous les plans pour le développement des pays membres et notamment du Sénégal pays cité en exemple pour sa stabilité démocratique’’.
Quant au directeur général de la Société de gestion du barrage de Diama, Tamsir Ndiaye, il a salué l’intérêt manifesté par le Japon pour le barrage de Diama qui a, selon lui, ''un besoin urgent de réhabilitation''.
D’ailleurs la Banque mondiale a déjà mis sur la table 5 milliards de francs sur les 30 milliards destinés à financer ce programme de réhabilitation de l’infrastructure hydraulique.
Le conseiller technique du ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Babacar Ndao, coordonnateur de la cellule OMVS/OMVG, a mis l’accent sur la nécessité de réhabiliter ce barrage, en perspective de l’augmentation des surfaces aménagées en plus de son rôle d’alimentation en eau de Nouakchott (100 pour 100) et de certaines villes du Sénégal.
Selon lui, le programme en vue englobe aussi des endiguements dans la vallée pour booster la production agricole.
APS