Cette œuvre de bienfaisance de l’agroindustriel, inscrite dans son vaste programme social aux multiples déclinaisons va mettre un terme de la corvée d’eau qui sévit dans ces localités. Elle permettra d'assurer la réalisation de l’extension du réseau d’adduction d’eau potable au profit des villages de Polo 1, 2, 3 et Massara Gabou situés au Sud des terres de l’entreprise rizicole.
« Les femmes des de ces hameaux éparpillés font des kilomètres au quotidien pour chercher de l’eau depuis une source commune. Elles y lavent habits et enfants et y puisent de l’eau à boire et à cuisiner à la maison », témoigne un habitant de Farimata, un village situé non loin de Polo.
L’usage des eaux stagnantes est la seule possibilité d’approvisionnement pour ces ruraux malgré la menace persistante de la bilharziose et des autres maladies hydriques. La CASL consciente de sa Responsabilité sociétale d’entreprise (RSE) s’est engagée alors à agir, en appuyant ce projet de l’Agence Régionale de Développement (ARD) de Saint-Louis. Son intervention humanitaire qui cible plus d’un millier de personnes, fait pousser un grand ouf de soulagement.
Oumar Mboulel SOW, le maire de DIAMA, a salué la promptitude de l’intervention généreuse et magnifiant les bonnes retombées enregistrées depuis l’implantation de cette société dans son territoire communal. Pour la maire SOW, le partenariat gagnant avec la CASL est à densifier et renforcer.
En plus de ses contrats de culture de 2.000 hectares avec les paysans locaux, les CASL d’irrigation et de drainage de la CASL boostent l’économie et lutte contre la pauvreté endémique. Après la récolte du riz, les champs de la société sont ouverts pour servir d’alimentation pour les troupeaux, renseigne le directeur général Laurent NICOLAS. Ce dernier fait part de l’engagement de sa filiale à soutenir l’érection d’un poste de Santé au Djoudj.
►►► Suivez, en vidéo, les réactions de Laurent NICOLAS, d’Oumar Mboulel SOW et d’Aissamby DIEME
« Les femmes des de ces hameaux éparpillés font des kilomètres au quotidien pour chercher de l’eau depuis une source commune. Elles y lavent habits et enfants et y puisent de l’eau à boire et à cuisiner à la maison », témoigne un habitant de Farimata, un village situé non loin de Polo.
L’usage des eaux stagnantes est la seule possibilité d’approvisionnement pour ces ruraux malgré la menace persistante de la bilharziose et des autres maladies hydriques. La CASL consciente de sa Responsabilité sociétale d’entreprise (RSE) s’est engagée alors à agir, en appuyant ce projet de l’Agence Régionale de Développement (ARD) de Saint-Louis. Son intervention humanitaire qui cible plus d’un millier de personnes, fait pousser un grand ouf de soulagement.
Oumar Mboulel SOW, le maire de DIAMA, a salué la promptitude de l’intervention généreuse et magnifiant les bonnes retombées enregistrées depuis l’implantation de cette société dans son territoire communal. Pour la maire SOW, le partenariat gagnant avec la CASL est à densifier et renforcer.
En plus de ses contrats de culture de 2.000 hectares avec les paysans locaux, les CASL d’irrigation et de drainage de la CASL boostent l’économie et lutte contre la pauvreté endémique. Après la récolte du riz, les champs de la société sont ouverts pour servir d’alimentation pour les troupeaux, renseigne le directeur général Laurent NICOLAS. Ce dernier fait part de l’engagement de sa filiale à soutenir l’érection d’un poste de Santé au Djoudj.
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