Boun Daouda Soumaré, directeur de l’Agence de développement municipal de Saint-Louis
Le directeur de l’Agence de développement municipal de Saint-Louis, Boun Daouda Soumaré, a souligné la nécessité d’asseoir une conscience citoyenne favorisant une préservation de l’environnement de la Langue de Barbarie.
Il s’agit d’asseoir auprès des acteurs locaux, des conseillers municipaux et conseillers de quartier, une bonne conscience pour la préservation de l’environnement, défis inhérents au changement climatique, à relever, a-t-il souligné samedi à un atelier d’information et de sensibilisation sur la préservation de l’environnement de la Langue de Barbarie.
Il a relevé que l’objectif de la rencontre, visait à améliorer les connaissances des acteurs locaux sur le phénomène de l’érosion côtière et de l’avancée de la mer, justifiant la mise en œuvre de différents projets.
Il a cité notamment Projet de relèvement d’urgence et de résilience (SERRP), le Projet de gestion des eaux pluviales et d’adaptation aux changements climatiques (PROGEP), le Projet de protection côtière, ainsi que celui de lutte contre l’érosion côtière.
Des initiatives de l’Etat visant à régler de manière durable la problématique de l’environnement dans Langue de Barbarie’’, a-t-il commenté.
La Langue de Barbarie, constituée par les quartiers Ndar Toute, Goxu-Mbathie, et Guet Ndar, est une zone, ou la pêche représente la principale activité des populations.
Il s’agit d’un fin cordon dunaire, née de l’affrontement du fleuve et de l’océan, avec une bande de sable longue de 25 kilomètres.
Du fait de sa situation géo morphologique, la Langue de Barbarie est confrontée aux effets du changement climatique, avec l’avancée de la mer et l’érosion côtière, occasionnant des dégâts énormes, avec la destruction des maisons, des édifices publics et même de perte en vie humaine, souligne un document remis à la presse en marge de l’atelier.
L’état du Sénégal, appuyé par ses partenaires, a mis en place des projets et programmes, à travers un budget consolidé d’investissement à hauteur de 3,7 milliards de francs Cfa, pour la protection du littoral, réalisé par EFFAGE, note-t-on de même source.
APS
Il s’agit d’asseoir auprès des acteurs locaux, des conseillers municipaux et conseillers de quartier, une bonne conscience pour la préservation de l’environnement, défis inhérents au changement climatique, à relever, a-t-il souligné samedi à un atelier d’information et de sensibilisation sur la préservation de l’environnement de la Langue de Barbarie.
Il a relevé que l’objectif de la rencontre, visait à améliorer les connaissances des acteurs locaux sur le phénomène de l’érosion côtière et de l’avancée de la mer, justifiant la mise en œuvre de différents projets.
Il a cité notamment Projet de relèvement d’urgence et de résilience (SERRP), le Projet de gestion des eaux pluviales et d’adaptation aux changements climatiques (PROGEP), le Projet de protection côtière, ainsi que celui de lutte contre l’érosion côtière.
Des initiatives de l’Etat visant à régler de manière durable la problématique de l’environnement dans Langue de Barbarie’’, a-t-il commenté.
La Langue de Barbarie, constituée par les quartiers Ndar Toute, Goxu-Mbathie, et Guet Ndar, est une zone, ou la pêche représente la principale activité des populations.
Il s’agit d’un fin cordon dunaire, née de l’affrontement du fleuve et de l’océan, avec une bande de sable longue de 25 kilomètres.
Du fait de sa situation géo morphologique, la Langue de Barbarie est confrontée aux effets du changement climatique, avec l’avancée de la mer et l’érosion côtière, occasionnant des dégâts énormes, avec la destruction des maisons, des édifices publics et même de perte en vie humaine, souligne un document remis à la presse en marge de l’atelier.
L’état du Sénégal, appuyé par ses partenaires, a mis en place des projets et programmes, à travers un budget consolidé d’investissement à hauteur de 3,7 milliards de francs Cfa, pour la protection du littoral, réalisé par EFFAGE, note-t-on de même source.
APS