
La 4e édition de la journée de prière de l’Amicale des délégués de quartiers de Saint-Louis s'est tenue ce dimanche, marquée par des séances de recueillement, des récitals du Coran et une causerie. Mais au-delà du volet spirituel, l'événement a aussi été l'occasion pour ces représentants locaux de faire entendre leurs revendications auprès des nouvelles autorités.
Ameth Keïta, président de l’Amicale des délégués de quartiers de la Commune de Saint-Louis, a exprimé la frustration de ses collègues face à leur situation financière et à leur rôle souvent sous-estimé. « Nos indemnités ne couvrent même pas nos frais de communication. Nous recevons 40 000 francs alors que les Bajeunu Gox et les chefs de village perçoivent davantage », a-t-il déclaré, soulignant la lourde charge sociale qui pèse sur eux.
« Il est temps d’augmenter notre marge d’action », a insisté Ameth Keïta, plaidant pour une revalorisation de leur statut et une meilleure reconnaissance de leurs fonctions. Selon lui, les délégués pourraient prendre en charge certaines formalités administratives, comme la déclaration des naissances, ce qui permettrait d’alléger le travail des autorités et d’améliorer le service aux citoyens.
Par ailleurs, il propose l’instauration d’un numéro vert dédié aux délégués afin de faciliter la communication avec les services administratifs et d’alerter rapidement en cas de besoin.
Avec l’arrivée d’un nouveau régime, les délégués de quartiers espèrent une prise en compte de leurs doléances. Leur souhait est d’obtenir une revalorisation de leurs indemnités, mais aussi d’avoir un cadre institutionnel qui leur permette d’exercer pleinement leur mission.
Ameth Keïta, président de l’Amicale des délégués de quartiers de la Commune de Saint-Louis, a exprimé la frustration de ses collègues face à leur situation financière et à leur rôle souvent sous-estimé. « Nos indemnités ne couvrent même pas nos frais de communication. Nous recevons 40 000 francs alors que les Bajeunu Gox et les chefs de village perçoivent davantage », a-t-il déclaré, soulignant la lourde charge sociale qui pèse sur eux.
« Il est temps d’augmenter notre marge d’action », a insisté Ameth Keïta, plaidant pour une revalorisation de leur statut et une meilleure reconnaissance de leurs fonctions. Selon lui, les délégués pourraient prendre en charge certaines formalités administratives, comme la déclaration des naissances, ce qui permettrait d’alléger le travail des autorités et d’améliorer le service aux citoyens.
Par ailleurs, il propose l’instauration d’un numéro vert dédié aux délégués afin de faciliter la communication avec les services administratifs et d’alerter rapidement en cas de besoin.
Avec l’arrivée d’un nouveau régime, les délégués de quartiers espèrent une prise en compte de leurs doléances. Leur souhait est d’obtenir une revalorisation de leurs indemnités, mais aussi d’avoir un cadre institutionnel qui leur permette d’exercer pleinement leur mission.