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Le "Ngewel-gui", un groupe de batteurs, envisage d’organiser, en 2014, à Saint-Louis (Nord), un festival de danse et de percussions, a annoncé son leader, Khadim Niang.
‘’Nous travaillons sur ce projet depuis des mois avec l’Institut culturel français, et nous allons le lancer les 15 et 16 mai prochains au cours d’un programme divers et varié’’, a-t-il dit dans un entretien avec l’APS.
Lors de ce festival, a-t-il souligné, les troupes de la ville de Saint-Louis, de la vallée du fleuve Sénégal, des autres régions du pays et des pays voisins, vont confronter leurs rythmes et leurs techniques de la percussion.
Selon lui, la mairie de Saint-Louis a inscrit cet événement dans son agenda culturel et va accompagner la manifestation par l’intermédiaire de l’Agence pour le développement communal (ADC).
Le choix a été porté sur Doudou Ndiaye Rose comme parrain, et Germaine Acogny comme marraine, selon Khadim Niang, qui veut ainsi leur rendre hommage pour leurs œuvres.
Pour le lancement du festival, un carnaval partira de la place Faidherbe pour sillonner la ville. Le programme prévoit aussi une prestation de Doudou Ndiaye Rose, à travers l'émission :
‘’Saint-Louis ne dort pas’’, de la Télé Futurs Médias (TFM, privée).
Khadim Niang a expliqué l'organisation de ce festival par le souci de faire renaître un événement organisé jadis, deux années successives, par un promoteur culturel, avant un coup d’arrêt lié à des problèmes financiers.
‘’Nous voulons faire vivre les percussions qui sont une tradition sénégalaise, mais nous passerons par le modernisme. Ce qui nous pousse à mettre sur pied un orchestre dénommé Ngewel-gui’’, a-t-il souligné, estimant toutefois que le groupe traditionnel prime sur tout.
Khadim Niang indique qu'il lui arrive souvent d’accompagner des orchestres saint-Louisiens dans leur tournée en dehors du pays ou de jouer pour des orchestres en promotion dans la vieille ville.
Il a eu aussi à faire partie d’une tournée du réseau francophone de l’Institut culturel et a aussi voyagé aux Etats-Unis, dans le cadre de ses propres activités.
APS
‘’Nous travaillons sur ce projet depuis des mois avec l’Institut culturel français, et nous allons le lancer les 15 et 16 mai prochains au cours d’un programme divers et varié’’, a-t-il dit dans un entretien avec l’APS.
Lors de ce festival, a-t-il souligné, les troupes de la ville de Saint-Louis, de la vallée du fleuve Sénégal, des autres régions du pays et des pays voisins, vont confronter leurs rythmes et leurs techniques de la percussion.
Selon lui, la mairie de Saint-Louis a inscrit cet événement dans son agenda culturel et va accompagner la manifestation par l’intermédiaire de l’Agence pour le développement communal (ADC).
Le choix a été porté sur Doudou Ndiaye Rose comme parrain, et Germaine Acogny comme marraine, selon Khadim Niang, qui veut ainsi leur rendre hommage pour leurs œuvres.
Pour le lancement du festival, un carnaval partira de la place Faidherbe pour sillonner la ville. Le programme prévoit aussi une prestation de Doudou Ndiaye Rose, à travers l'émission :
‘’Saint-Louis ne dort pas’’, de la Télé Futurs Médias (TFM, privée).
Khadim Niang a expliqué l'organisation de ce festival par le souci de faire renaître un événement organisé jadis, deux années successives, par un promoteur culturel, avant un coup d’arrêt lié à des problèmes financiers.
‘’Nous voulons faire vivre les percussions qui sont une tradition sénégalaise, mais nous passerons par le modernisme. Ce qui nous pousse à mettre sur pied un orchestre dénommé Ngewel-gui’’, a-t-il souligné, estimant toutefois que le groupe traditionnel prime sur tout.
Khadim Niang indique qu'il lui arrive souvent d’accompagner des orchestres saint-Louisiens dans leur tournée en dehors du pays ou de jouer pour des orchestres en promotion dans la vieille ville.
Il a eu aussi à faire partie d’une tournée du réseau francophone de l’Institut culturel et a aussi voyagé aux Etats-Unis, dans le cadre de ses propres activités.
APS
