Le coordonnateur d'Urgences environnementales, Alioune Diop, a révélé jeudi que le Japon a donné son accord pour reconduction de ce programme en demandant au ministère de l’Economie et des Finances le décaissement de 250 millions pour poursuivre l’implantation au niveau national.
‘’Le Japon a demandé au ministre de l’Economie et des Finances [Amadou Bâ] de nous donner encore 250 millions pour continuer la base d’implantation au niveau national’’, a souligné M. Diop, en s’exprimant à Saint-Louis en marge d’une journée de sensibilisation sur ce programme.
La rencontre a regroupé les régions de Matam, Dakar, Thiès et Saint-Louis, a précisé le coordonnateur d’Urgences environnementales. Elle a, dit-il, permis de réunir autour d’une table les acteurs qui ont des missions de protection de l’environnement pour un échanger sur les activités déroulées durant les trois premières années du programme.
''Durant ces trois ans, a-t-il rappelé, Urgences environnementales a eu à gérer pas de mal de problèmes liés à des produits dangereux, des hydrocarbures qui se déversent sur la chaussée après des accidents. Et nous sommes obligés de venir sécuriser le périmètre afin de prendre des mesures.''
Le programme met l’accent surtout sur l’axe Sénégal-Mali, où il y a eu beaucoup de problèmes liés au souffre et aux acides transportés par les gros porteurs.
Il a cité aussi des déversements d’hydrocarbures sur les rails, à Thiaroye, qui ont également nécessité l’intervention d’Urgences environnementales.
''En tant qu’agents assermentés, nous ne pouvons intervenir mais la gendarmerie est toujours avec nous sur le terrain, et en cas d’accident, elle agit'', a-t-il indiqué.
APS
‘’Le Japon a demandé au ministre de l’Economie et des Finances [Amadou Bâ] de nous donner encore 250 millions pour continuer la base d’implantation au niveau national’’, a souligné M. Diop, en s’exprimant à Saint-Louis en marge d’une journée de sensibilisation sur ce programme.
La rencontre a regroupé les régions de Matam, Dakar, Thiès et Saint-Louis, a précisé le coordonnateur d’Urgences environnementales. Elle a, dit-il, permis de réunir autour d’une table les acteurs qui ont des missions de protection de l’environnement pour un échanger sur les activités déroulées durant les trois premières années du programme.
''Durant ces trois ans, a-t-il rappelé, Urgences environnementales a eu à gérer pas de mal de problèmes liés à des produits dangereux, des hydrocarbures qui se déversent sur la chaussée après des accidents. Et nous sommes obligés de venir sécuriser le périmètre afin de prendre des mesures.''
Le programme met l’accent surtout sur l’axe Sénégal-Mali, où il y a eu beaucoup de problèmes liés au souffre et aux acides transportés par les gros porteurs.
Il a cité aussi des déversements d’hydrocarbures sur les rails, à Thiaroye, qui ont également nécessité l’intervention d’Urgences environnementales.
''En tant qu’agents assermentés, nous ne pouvons intervenir mais la gendarmerie est toujours avec nous sur le terrain, et en cas d’accident, elle agit'', a-t-il indiqué.
APS