Sur près de 200 véhicules qui fréquentent le garage, seule une trentaine sont en activité. Le parc de stationnement est pris en otage par des eaux verdâtres et puantes. En plus du système d’évacuation des eaux de pluies défaillant, la vidange de fosses septiques dans l’espace du garage par des concessions riveraines propage une odeur infecte qui chasse les clients.
« Depuis 3 trois, nous rentrons bredouille », crie Saliou NIANG, le secrétaire général du regroupement des chauffeurs, dépité par l’inertie des autorités devant les dures contraintes auxquelles ils font face.
« Pourtant, nous reversons nos frais d’assurances à hauteur de 21.000 FCFA par mois et les droits de stationnement de 4.000 FCFA. La Tabaski vient de passer. La plupart d’entre nous l’ont vécu dans le désarroi. Bientôt, l’ouverture des classes et le spectre de la désespérance plane sur nos têtes. Sans la possibilité de payer des fournitures scolaires pour nos enfants, nous ne saurons pas à quel saint se vouer », lamente le chauffeur NIANG.
Depuis une opération d’évacuation des eaux menée par l’Office Nationale de l’Assainissement à la suite des fortes pluies, le garage n’a pas bénéficié d’actions de suivi. Les stagnations d’eaux plongent les usagers dans une situation catastrophique.
« Nous invitons les autorités à venir sauver ces pères de famille qui croupissent dans cette misère », lance Babacar BOYE, le président du regroupement.
Il renseigne que des démarches ont été entreprises auprès du maire, du Gouverneur, du Préfet et du DG de l’ONAS, mais qu’aucune suite favorable aux requêtes n’a été constatée.
> En vidéo, le décor chaotique et le cri de cœur des chauffeurs
« Depuis 3 trois, nous rentrons bredouille », crie Saliou NIANG, le secrétaire général du regroupement des chauffeurs, dépité par l’inertie des autorités devant les dures contraintes auxquelles ils font face.
« Pourtant, nous reversons nos frais d’assurances à hauteur de 21.000 FCFA par mois et les droits de stationnement de 4.000 FCFA. La Tabaski vient de passer. La plupart d’entre nous l’ont vécu dans le désarroi. Bientôt, l’ouverture des classes et le spectre de la désespérance plane sur nos têtes. Sans la possibilité de payer des fournitures scolaires pour nos enfants, nous ne saurons pas à quel saint se vouer », lamente le chauffeur NIANG.
Depuis une opération d’évacuation des eaux menée par l’Office Nationale de l’Assainissement à la suite des fortes pluies, le garage n’a pas bénéficié d’actions de suivi. Les stagnations d’eaux plongent les usagers dans une situation catastrophique.
« Nous invitons les autorités à venir sauver ces pères de famille qui croupissent dans cette misère », lance Babacar BOYE, le président du regroupement.
Il renseigne que des démarches ont été entreprises auprès du maire, du Gouverneur, du Préfet et du DG de l’ONAS, mais qu’aucune suite favorable aux requêtes n’a été constatée.
> En vidéo, le décor chaotique et le cri de cœur des chauffeurs
NDARINFO.COM