L’occupation de la porte d’entrée principale de l’hydrobase tue à petit feu le poumon économique de la ville. En a croire certains promoteurs hôteliers, interrogés jeudi, des contrats avec de grandes organisations touristiques ont été suspendus à cause de l’accès presque impossible de l’hydrobase. Cette issue vers l’hydrobase est accaparé d’une horde de camions. Sur place, des chargeurs font les navettes pour charger le poisson dans les camions.
‘’Ces véhiculent déversent des substances puantes que les touristes sont obligés de supporter après de longues heures d’attente. Dès qu’on entre dans ce cul-de-sac, on peut plus avancer ni sortir. Les rares touristes qui ont fait cette expérience, ont rayé la destination saint-louisienne de leur projet de voyage’’, crie un gérant d’hôtel.
Alors que les grands hôtels de Gandiol plient leur bagage du fait de l’avancement des brèches, ceux de l’hydrobase se disent ‘’oubliés et délaissés’’ par les autorités qui d’après eux, ne manifestent aucune volonté politique pour dégager les camions et nettoyer les amas d’ordures entassés sur la berge.
‘’Le pont Faidherbe mis à neuf il y a quelques mois, ne pourra pas supporter toutes ces chargent. Le sang des poissons qui coulent à travers les véhicules est toxique et nuisible aux installations’’, rajoute t-il.
Va –ton vers un désintéressement de la langue de barbarie ? Pour les hôteliers les signaux sont déjà là et l’heure est à l’action. La détresse des entrepreneurs touristiques est profonde. Ce qui pousse à un de nos interlocuteurs à lâcher : ‘’Qui sauve la langue de Babarie, sauvera Saint-Louis’’.
Cheikh SEYE
‘’Ces véhiculent déversent des substances puantes que les touristes sont obligés de supporter après de longues heures d’attente. Dès qu’on entre dans ce cul-de-sac, on peut plus avancer ni sortir. Les rares touristes qui ont fait cette expérience, ont rayé la destination saint-louisienne de leur projet de voyage’’, crie un gérant d’hôtel.
Alors que les grands hôtels de Gandiol plient leur bagage du fait de l’avancement des brèches, ceux de l’hydrobase se disent ‘’oubliés et délaissés’’ par les autorités qui d’après eux, ne manifestent aucune volonté politique pour dégager les camions et nettoyer les amas d’ordures entassés sur la berge.
‘’Le pont Faidherbe mis à neuf il y a quelques mois, ne pourra pas supporter toutes ces chargent. Le sang des poissons qui coulent à travers les véhicules est toxique et nuisible aux installations’’, rajoute t-il.
Va –ton vers un désintéressement de la langue de barbarie ? Pour les hôteliers les signaux sont déjà là et l’heure est à l’action. La détresse des entrepreneurs touristiques est profonde. Ce qui pousse à un de nos interlocuteurs à lâcher : ‘’Qui sauve la langue de Babarie, sauvera Saint-Louis’’.
Cheikh SEYE