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Ataya gallery, pour sa nouvelle saison, offre dans le cadre de la semaine du patrimoine sa première exposition photo de l’artiste plurielle Patricia N’diaye. « Gare à vous » est un regard novateur porté sur l’ancienne gare considérée comme l’une des bâtisses incontournables du patrimoine St Louisien.
Le visiteur est amené au fil de cette présentation à découvrir un lieu laissé à l’abandon des trains et qui, à travers ces œuvres, dévoile une part de ses secrets. L’artiste a voulu, pour cette première expérience photographique, partager sa vision de cet espace dont le devenir est source de réflexions.
Chaque photo, légendée par l’artiste, donne à l’exposition un ton militant car comme le dit Patricia N’Diaye « quelque soit le mode d’expression que j’utilise : danse, musique, écriture ou stylisme ce qui compte pour moi c’est que ce soit un vecteur de communication pour changer le monde dans lequel nous sommes ».
En conclusion du vernissage le visiteur a pu participer à un débat sur le devenir de l’ancienne gare aujourd’hui sans fonction précise. Occasion pour les personnes présentes de créer un comité rattaché à « Ataya Gallery » dans le but d’élaborer un dossier concis sur des pistes d’avenir pour la gare et de le faire remonté jusqu’aux instances légitimement décisionnelles. Pour la photographe membre du comité, la gare pourrait devenir « une fabrique culturelle : tout autant résidence, lieu d’apprentissage que de répétition pour les différents corpus d’artistes de la région. »
Cette exposition est l’occasion pour la galerie de sensibiliser le plus grand nombre sur cette question et d’amener une dynamique autour de ce récent comité. Vendredi à 18h Patricia N’Diaye dans Paroles de Muses animé par Charles Camara, reviendra à la Galerie ATAYA sur son expérience nouvelle de photographe. Pour ce faire elle lira des extraits de son recueil de poème « 36 chandelles » et reviendra sur les sujets de révolte qu’elle porte, comme le racisme, la cause des sans papiers…
Circé Si.
Le visiteur est amené au fil de cette présentation à découvrir un lieu laissé à l’abandon des trains et qui, à travers ces œuvres, dévoile une part de ses secrets. L’artiste a voulu, pour cette première expérience photographique, partager sa vision de cet espace dont le devenir est source de réflexions.
Chaque photo, légendée par l’artiste, donne à l’exposition un ton militant car comme le dit Patricia N’Diaye « quelque soit le mode d’expression que j’utilise : danse, musique, écriture ou stylisme ce qui compte pour moi c’est que ce soit un vecteur de communication pour changer le monde dans lequel nous sommes ».
En conclusion du vernissage le visiteur a pu participer à un débat sur le devenir de l’ancienne gare aujourd’hui sans fonction précise. Occasion pour les personnes présentes de créer un comité rattaché à « Ataya Gallery » dans le but d’élaborer un dossier concis sur des pistes d’avenir pour la gare et de le faire remonté jusqu’aux instances légitimement décisionnelles. Pour la photographe membre du comité, la gare pourrait devenir « une fabrique culturelle : tout autant résidence, lieu d’apprentissage que de répétition pour les différents corpus d’artistes de la région. »
Cette exposition est l’occasion pour la galerie de sensibiliser le plus grand nombre sur cette question et d’amener une dynamique autour de ce récent comité. Vendredi à 18h Patricia N’Diaye dans Paroles de Muses animé par Charles Camara, reviendra à la Galerie ATAYA sur son expérience nouvelle de photographe. Pour ce faire elle lira des extraits de son recueil de poème « 36 chandelles » et reviendra sur les sujets de révolte qu’elle porte, comme le racisme, la cause des sans papiers…
Circé Si.
