La gestion des zones côtières au Sénégal est au menu d’un atelier qui s’est ouvert jeudi à la Chambre de commerce de Saint-Louis, a constaté l’APS.
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’un projet sur la gestion intégrée des zones côtières au Sénégal financé par l’Union européenne pour un montant d’un million d’euros (656 millions de francs CFA).
La région de Saint-Louis a été choisie comme zone pilote du fait de son écosystème très fragilisé surtout par l’avancée de la mer tout au long du littoral.
Ce projet a pour vocation d’accompagner le gouvernement du Sénégal dans sa politique d’adaptation au changement climatique dans les zones côtières.
Il s’agira de pousser ‘’la démarche participative des acteurs par un diagnostic sans complaisance sur l’aménagement des zones côtières, sur l’occupation anarchique du littoral et autres problèmes liés à la gestion pour asseoir une véritable implication des populations’’, a expliqué la coordonnatrice du projet, Élisabeth Niang.
L’atelier se poursuivra à Rufisque, Dakar, Mbour, Louga et d'autres localités menacées par l'érosion côtière, a-t-elle indiqué.
Selon le chef du Service régional de l’environnement et des établissements classés, El Hadj Boubacar Dia, ‘’c’est un programme très important avec des impacts (qui permettra) de poser encore des actes avec les acteurs impliqués sur la gestion des zones côtières’’.
A Saint-Louis, beaucoup de collectivités locales dans la langue de barbarie à Guet-Ndar, Ndar-Toute, Goxu Mbacc, dans le Gandiolais avec les villages de Doune Baba Dièye, entre autres, sont menacées ou sont en voie de disparition du fait de l’avancée de la mer, a-t-il expliqué.
Ouvrant les travaux de l’atelier, l’adjoint administratif du gouverneur, Mor Talla Tine, a indiqué que ‘’le problème de l’érosion côtière se pose avec acuité dans plusieurs zones’’.
‘’Cela nécessite, a-t-il dit, des mesures idoines de sauvegarde par la mise en œuvre d’un programme pour juguler le phénomène climatique (…). Il faut mettre des stratégies durables dans la lutte’’.
APS
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’un projet sur la gestion intégrée des zones côtières au Sénégal financé par l’Union européenne pour un montant d’un million d’euros (656 millions de francs CFA).
La région de Saint-Louis a été choisie comme zone pilote du fait de son écosystème très fragilisé surtout par l’avancée de la mer tout au long du littoral.
Ce projet a pour vocation d’accompagner le gouvernement du Sénégal dans sa politique d’adaptation au changement climatique dans les zones côtières.
Il s’agira de pousser ‘’la démarche participative des acteurs par un diagnostic sans complaisance sur l’aménagement des zones côtières, sur l’occupation anarchique du littoral et autres problèmes liés à la gestion pour asseoir une véritable implication des populations’’, a expliqué la coordonnatrice du projet, Élisabeth Niang.
L’atelier se poursuivra à Rufisque, Dakar, Mbour, Louga et d'autres localités menacées par l'érosion côtière, a-t-elle indiqué.
Selon le chef du Service régional de l’environnement et des établissements classés, El Hadj Boubacar Dia, ‘’c’est un programme très important avec des impacts (qui permettra) de poser encore des actes avec les acteurs impliqués sur la gestion des zones côtières’’.
A Saint-Louis, beaucoup de collectivités locales dans la langue de barbarie à Guet-Ndar, Ndar-Toute, Goxu Mbacc, dans le Gandiolais avec les villages de Doune Baba Dièye, entre autres, sont menacées ou sont en voie de disparition du fait de l’avancée de la mer, a-t-il expliqué.
Ouvrant les travaux de l’atelier, l’adjoint administratif du gouverneur, Mor Talla Tine, a indiqué que ‘’le problème de l’érosion côtière se pose avec acuité dans plusieurs zones’’.
‘’Cela nécessite, a-t-il dit, des mesures idoines de sauvegarde par la mise en œuvre d’un programme pour juguler le phénomène climatique (…). Il faut mettre des stratégies durables dans la lutte’’.
APS