Le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Ali Haidar, s’est montré très préoccupé par la progression des plantes aquatiques qui ont envahi le parc de Djoudj, à 60 km au nord de Saint-Louis, menaçant l’avenir du plan d’eau et attirant les oiseaux migrateurs et d’autres espèces animales.
‘’Ces plantes aquatiques occupent progressivement le plan d’eau, malgré l’attitude des pêcheurs qui font appel à une technique de pêche consistant à les utiliser comme appât pour les poissons en les brûlant’, a alerté M. Haidar, qui était à Djoudj pour le lancement de l’opération de dénombrement des oiseaux.
Avec ces plantes aquatiques, a reconnu le Ministre, le plan d’eau du parc risque de se rétrécir et, à la longue, d’avoir des problèmes, car les oiseaux auront tendance à déserter ce site écologique inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.
Ces opérations de dénombrement des oiseaux migrateurs sont supervisés par le ministère de l'Environnement et du Développement durable en collaboration avec les directions des parcs nationaux et des aires marines protégées et Wetlands International, une organisation à but non lucratif qui s'intéresse à la protection des zones humides et la gestion durable.
Cette cérémonie s’est tenue en présence des ambassadeurs de France et des Pays-Bas à Dakar, des autorités de la Mauritanie et de plusieurs autres experts ornithologues allemands.
Le parc de Djoudj, créé en 1971 dans le but de préserver un échantillon représentatif de l'écosystème du delta du fleuve Sénégal accueille chaque année environ 367 espèces d'oiseaux pour un effectif estimé entre 2 500 000 et 3 millions d'individus.
aps
‘’Ces plantes aquatiques occupent progressivement le plan d’eau, malgré l’attitude des pêcheurs qui font appel à une technique de pêche consistant à les utiliser comme appât pour les poissons en les brûlant’, a alerté M. Haidar, qui était à Djoudj pour le lancement de l’opération de dénombrement des oiseaux.
Avec ces plantes aquatiques, a reconnu le Ministre, le plan d’eau du parc risque de se rétrécir et, à la longue, d’avoir des problèmes, car les oiseaux auront tendance à déserter ce site écologique inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.
Ces opérations de dénombrement des oiseaux migrateurs sont supervisés par le ministère de l'Environnement et du Développement durable en collaboration avec les directions des parcs nationaux et des aires marines protégées et Wetlands International, une organisation à but non lucratif qui s'intéresse à la protection des zones humides et la gestion durable.
Cette cérémonie s’est tenue en présence des ambassadeurs de France et des Pays-Bas à Dakar, des autorités de la Mauritanie et de plusieurs autres experts ornithologues allemands.
Le parc de Djoudj, créé en 1971 dans le but de préserver un échantillon représentatif de l'écosystème du delta du fleuve Sénégal accueille chaque année environ 367 espèces d'oiseaux pour un effectif estimé entre 2 500 000 et 3 millions d'individus.
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