L'absence de Cheikh Bamba Dièye à cette 16ème édition du Fanal de Saint-Louis montre le niveau de crispation de ses relations avec Mansour Faye, parrain de cet événement. Désormais, la guerre est ouvertement déclarée sur la place publique et l'acharnement ne va plus s'arrêter.
Sur la place publique, Mansour Faye a recueilli hier des éloges grandioses tel un prince chevaleresque revenant triomphant d'une grande bataille. Pour savourer cette victoire, d'être le parrain du Fanal 2013, on va inviter la grande sœur et savourer en famille cette liesse si prestigieuse. Mansour Faye a été chanté, dansé, vanté, pour avoir soutenu le Fanalk, à coups de billets de banque.
Pauvre culture ! Ton expression repose désormais sur les caprices des politiques en quête de promotion. Il est vraiment triste de constater que certains acteurs culturels ne roulent que pour le plus offrant, sans moralité. Les événements fards qui retracent la dimension culturelle de la ville sont dans le péril, menacés par l'amateurisme et le manque d'organisation.
Au moment où le Fanal s'apprêtait à s'ouvrir, le Jamboré lui, se préparait à sa clôture. Deux événements, deux leaders, deux partis se chamaillent encore et à souhait, par événements interposés. L'appartenance politique peut bien obstruer les vannes citoyennes. L'absence du maire à une activité aussi grandiose que le Fanal, fera couler trop d'encre et remuer beaucoup de langue. Est-ce la meilleure à façon pour faire de Saint-Louis une capitale culturelle en 2015 ?
Ndarinfo.com
Sur la place publique, Mansour Faye a recueilli hier des éloges grandioses tel un prince chevaleresque revenant triomphant d'une grande bataille. Pour savourer cette victoire, d'être le parrain du Fanal 2013, on va inviter la grande sœur et savourer en famille cette liesse si prestigieuse. Mansour Faye a été chanté, dansé, vanté, pour avoir soutenu le Fanalk, à coups de billets de banque.
Pauvre culture ! Ton expression repose désormais sur les caprices des politiques en quête de promotion. Il est vraiment triste de constater que certains acteurs culturels ne roulent que pour le plus offrant, sans moralité. Les événements fards qui retracent la dimension culturelle de la ville sont dans le péril, menacés par l'amateurisme et le manque d'organisation.
Au moment où le Fanal s'apprêtait à s'ouvrir, le Jamboré lui, se préparait à sa clôture. Deux événements, deux leaders, deux partis se chamaillent encore et à souhait, par événements interposés. L'appartenance politique peut bien obstruer les vannes citoyennes. L'absence du maire à une activité aussi grandiose que le Fanal, fera couler trop d'encre et remuer beaucoup de langue. Est-ce la meilleure à façon pour faire de Saint-Louis une capitale culturelle en 2015 ?
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