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« Les chiffres qui sont présentés nous permettent d’affirmer que les programmes ont été très bien menés », a dit M. FALL, à l’issue d’un Comité régional de Développement (Crd) qui mobilisait les acteurs de la protection sociale. « En 2015, tous les programmes ont été déroulés à 100%, à la satisfaction générale des groupes cibles », a-t-il laissé entendre.
En effet, sur un budget global de 43 millions 442.000 de francs CFA , 39 millions 608.375 mille francs CFA ont été injectés dans les divers programmes dont la réadaptation à base communautaire, la carte d’égalité de chance, l’appui à la promotion des Ainés, aux personnes affectées par la lèpre, a renseigné Gora SEYE, le chef de service de Saint-Louis. À cela, s’ajoutent le programme « Enfance déshéritée » et la prise en charge médicale.
Toutefois, des manquements ont été notés dans la confection des cartes d’égalité de chance, déplorés notamment le représentant de l’association des personnes handicapées.
« C’est juste un petit problème informatique qui sera rapidement corrigé pour permettra aux bénéficiaires de la région d’avoir leurs cartes dans les meilleurs délais », a expliqué M. FALL.
Khadissatou GAYE, la directrice générale a appelé à un renforcement de la collaboration entre son entité et les collectivités locales autour l’action sociale, en révélant qu’un projet de convention en élaboration, pour permettre d’assurer une « fluidité dans la définition des rôles des uns et des autres ».
En exhortant lés collectivités à s’impliquer davantage, Mme GAYE a rappelé aux élus que « l’action sociale est une compétence transférée ».
Aujourd’hui, avec l’acceptation communautaire des projets et programmes de la direction, l’implication des autorités administratives et politiques dans l’exécution des projets et programmes, les fortes convergences et la bonne collaboration entre agents des services déconcentrés, de belles perspectives d’action s’offrent.
En attendant, les contraintes liées aux défaillances du système d’information géographique, au manque chronique de logistiques roulantes, au non-enregistrement de personnes handicapées à l’état civil et la difficulté pour le service de Saint-Louis d’ assurer le suivi et l’évaluation des projets et programmes doivent être levées.
> Suivez, en vidéo, les explications de l’adjoint au Gouverneur et les impressions de la directrice de l’Action sociale
En effet, sur un budget global de 43 millions 442.000 de francs CFA , 39 millions 608.375 mille francs CFA ont été injectés dans les divers programmes dont la réadaptation à base communautaire, la carte d’égalité de chance, l’appui à la promotion des Ainés, aux personnes affectées par la lèpre, a renseigné Gora SEYE, le chef de service de Saint-Louis. À cela, s’ajoutent le programme « Enfance déshéritée » et la prise en charge médicale.
Toutefois, des manquements ont été notés dans la confection des cartes d’égalité de chance, déplorés notamment le représentant de l’association des personnes handicapées.
« C’est juste un petit problème informatique qui sera rapidement corrigé pour permettra aux bénéficiaires de la région d’avoir leurs cartes dans les meilleurs délais », a expliqué M. FALL.
Khadissatou GAYE, la directrice générale a appelé à un renforcement de la collaboration entre son entité et les collectivités locales autour l’action sociale, en révélant qu’un projet de convention en élaboration, pour permettre d’assurer une « fluidité dans la définition des rôles des uns et des autres ».
En exhortant lés collectivités à s’impliquer davantage, Mme GAYE a rappelé aux élus que « l’action sociale est une compétence transférée ».
Aujourd’hui, avec l’acceptation communautaire des projets et programmes de la direction, l’implication des autorités administratives et politiques dans l’exécution des projets et programmes, les fortes convergences et la bonne collaboration entre agents des services déconcentrés, de belles perspectives d’action s’offrent.
En attendant, les contraintes liées aux défaillances du système d’information géographique, au manque chronique de logistiques roulantes, au non-enregistrement de personnes handicapées à l’état civil et la difficulté pour le service de Saint-Louis d’ assurer le suivi et l’évaluation des projets et programmes doivent être levées.
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