Le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES), l’Etude d’Impact Environnemental et Social (EIES) et le Plan d’Action et de Réinstallation (PAR) ont été partagées par les acteurs de Saint-Louis, jeudi dernier, sous la houlette du Préfet de Saint Louis. A cette occasion, les consultants ont tour à tour déroulé les trois documents de sauvegarde environnementale et sociale. Pour le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (CGES), il s’agira d’orienter le projet en matière environnementale et sociale mais aussi d’identifier, évaluer et atténuer les impacts environnementaux et sociaux potentiels des activités du projet au stade de planification.
Alors que l’Etude d’Impact Environnemental et Social (EIES) va analyser les impacts que le projet est susceptible d’engendrer ; Proposer des mesures de bonification des impacts positifs du projet, proposer des mesures pour éviter, minimiser, restaurer ou compenser les impacts négatifs de l’activité et Proposer des coûts d’application de ces mesures.
Enfin, les acteurs ont pu partager sur le Plan d’Action et de Réinstallation (PAR) dont l’objectif fondamental de tout projet de réinstallation est d’éviter de porter préjudice aux populations (personnes affectées). Ce PAR va s’assurer que les personnes affectées y inclus les personnes vulnérables soient assistées dans leurs efforts pour améliorer leurs moyens d’existence et leur niveau de vie, ou du moins de les rétablir en termes réels à leur niveau d’avant le déplacement. Il pourra aussi s’assurer que les activités de déplacement physique temporaire et de compensation s’il y a lieu, soient conçues et exécutées en tant que programme de développement durable, fournissant suffisamment de ressources d’investissement pour que les personnes affectées par le recasement temporaire aient l’opportunité d’en partager les bénéfices.
Après ces présentations, les acteurs ont apporté des contributions et suggestions qui seront prises en compte par les consultants.
Il faut rappeler que face à l’accélération de l’érosion côtière le long de la Langue de Barbarie, le Gouvernement du Sénégal a déclenché son mécanisme de réponse d’urgence sous la direction du Gouverneur de Région et de la Commune de Saint-Louis. De plus, il a mobilisé un financement de la Banque mondiale pour convenir de la mise en place du SERRP comme une réponse structurelle visant la protection et le relèvement des populations.
NDARINFO.COM
Alors que l’Etude d’Impact Environnemental et Social (EIES) va analyser les impacts que le projet est susceptible d’engendrer ; Proposer des mesures de bonification des impacts positifs du projet, proposer des mesures pour éviter, minimiser, restaurer ou compenser les impacts négatifs de l’activité et Proposer des coûts d’application de ces mesures.
Enfin, les acteurs ont pu partager sur le Plan d’Action et de Réinstallation (PAR) dont l’objectif fondamental de tout projet de réinstallation est d’éviter de porter préjudice aux populations (personnes affectées). Ce PAR va s’assurer que les personnes affectées y inclus les personnes vulnérables soient assistées dans leurs efforts pour améliorer leurs moyens d’existence et leur niveau de vie, ou du moins de les rétablir en termes réels à leur niveau d’avant le déplacement. Il pourra aussi s’assurer que les activités de déplacement physique temporaire et de compensation s’il y a lieu, soient conçues et exécutées en tant que programme de développement durable, fournissant suffisamment de ressources d’investissement pour que les personnes affectées par le recasement temporaire aient l’opportunité d’en partager les bénéfices.
Après ces présentations, les acteurs ont apporté des contributions et suggestions qui seront prises en compte par les consultants.
Il faut rappeler que face à l’accélération de l’érosion côtière le long de la Langue de Barbarie, le Gouvernement du Sénégal a déclenché son mécanisme de réponse d’urgence sous la direction du Gouverneur de Région et de la Commune de Saint-Louis. De plus, il a mobilisé un financement de la Banque mondiale pour convenir de la mise en place du SERRP comme une réponse structurelle visant la protection et le relèvement des populations.
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