Les populations du village de Sanar Wolof sont très en colère. Ils ont arboré, dimanche, des brassards rouges pour dénoncer une spoliation de leurs terres par l'Université Gaston Berger.
Il s’agit, disent-elles, de 93 parcelles dont la plupart sont des vergers. Les 3 ha ont été financés par le ministre de l’enseignement supérieur sur des terres où des femmes cultivent des palmiers.
« L’UGB veut nous déposséder, de force, nos maigres parcelles de terre qui nous restent. Nous ne l’accepterons pas », a crié Mamadou WADE, un des habitants de Sanar Wolof, après une marche de contestation.
Très en colère, ils dénoncent l’implantation d’un projet de construction d’un centre d’épuration pour le complexe multisports dans une zone appartenant au village, en rappelant que cet espace a été loti par le conseil rural et approuvé par le sous-préfet.
Ils menacent de battre le macadam au péril de leur vie pour que justice soit faite.
NDARINFO.COM
Il s’agit, disent-elles, de 93 parcelles dont la plupart sont des vergers. Les 3 ha ont été financés par le ministre de l’enseignement supérieur sur des terres où des femmes cultivent des palmiers.
« L’UGB veut nous déposséder, de force, nos maigres parcelles de terre qui nous restent. Nous ne l’accepterons pas », a crié Mamadou WADE, un des habitants de Sanar Wolof, après une marche de contestation.
Très en colère, ils dénoncent l’implantation d’un projet de construction d’un centre d’épuration pour le complexe multisports dans une zone appartenant au village, en rappelant que cet espace a été loti par le conseil rural et approuvé par le sous-préfet.
Ils menacent de battre le macadam au péril de leur vie pour que justice soit faite.
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