La famille Diop continue de pleurer son « génie » Khar Diop. Cet étudiant en 1ère année droit à l’université Gaston Berger de Saint Louis a rendu l’âme à Dakar.
Le certificat médical atteste bien de la mort en ces termes : « Traumatisme crânien grave avec une plaie pariétale suturée de 4cm, d’un hématome extra dural temporel gauche de 4cm avec engagement sous falcoriel et fracture embarrure en regard de la voute pariétale », révèle un professeur d’anglais dans l’ Observateur repris par setal.net.
Le Génie sacrifié a été consacré meilleur élève de la ville de Louga, en 2005 il a effectué des voyages en France représenter toute la capitale du Ndiambour dans un jumelage où prenaient part des génies en herbe des pays francophobie.
Huit adolescents sont entendus au commissariat central de Louga (nord), dans le cadre d’une enquête ouverte après le décès, jeudi, d’un étudiant d’une vingtaine d’années, poignardé, lors d’une bagarre intervenue dans la nuit de samedi à dimanche, a appris l’APS de bonne source.
Les huit jeunes convoqués et entendus par la police sont suspectés d’avoir pris part à la bagarre lors de laquelle l’étudiant en première année de droit à l’Université Gaston Berger (UUGB) de Saint-Louis a reçu un coup de couteau à hauteur de la nuque.
Le jeune homme, plongé dans le coma depuis quatre jours, a rendu l’âme jeudi tôt le matin à l’hôpital Principal de Dakar où il avait été admis d’urgence lundi afin de subir une intervention chirurgicale. Dans un premier temps, le garçon avait été admis à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga pour y subir les premiers soins.
Tout serait parti d’une altercation entre deux groupes de jeunes habitant respectivement les quartiers Montagne et Santhiaba, dans la commune de Louga. Ils se seraient affrontés au sujet d’une soirée dansante qu’organisait l'un des deux groupes au centre culturel régional.
Une bagarre lors de laquelle la victime a été atteinte à la nuque à l’aide d’un couteau par un jeune homme activement recherché par la police. D’après plusieurs témoignages, le présumé auteur du coup de couteau se serait fondu dans la nature après avoir commis cet acte.
D'après Setal.net et l'APS
Le certificat médical atteste bien de la mort en ces termes : « Traumatisme crânien grave avec une plaie pariétale suturée de 4cm, d’un hématome extra dural temporel gauche de 4cm avec engagement sous falcoriel et fracture embarrure en regard de la voute pariétale », révèle un professeur d’anglais dans l’ Observateur repris par setal.net.
Le Génie sacrifié a été consacré meilleur élève de la ville de Louga, en 2005 il a effectué des voyages en France représenter toute la capitale du Ndiambour dans un jumelage où prenaient part des génies en herbe des pays francophobie.
Huit adolescents sont entendus au commissariat central de Louga (nord), dans le cadre d’une enquête ouverte après le décès, jeudi, d’un étudiant d’une vingtaine d’années, poignardé, lors d’une bagarre intervenue dans la nuit de samedi à dimanche, a appris l’APS de bonne source.
Les huit jeunes convoqués et entendus par la police sont suspectés d’avoir pris part à la bagarre lors de laquelle l’étudiant en première année de droit à l’Université Gaston Berger (UUGB) de Saint-Louis a reçu un coup de couteau à hauteur de la nuque.
Le jeune homme, plongé dans le coma depuis quatre jours, a rendu l’âme jeudi tôt le matin à l’hôpital Principal de Dakar où il avait été admis d’urgence lundi afin de subir une intervention chirurgicale. Dans un premier temps, le garçon avait été admis à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga pour y subir les premiers soins.
Tout serait parti d’une altercation entre deux groupes de jeunes habitant respectivement les quartiers Montagne et Santhiaba, dans la commune de Louga. Ils se seraient affrontés au sujet d’une soirée dansante qu’organisait l'un des deux groupes au centre culturel régional.
Une bagarre lors de laquelle la victime a été atteinte à la nuque à l’aide d’un couteau par un jeune homme activement recherché par la police. D’après plusieurs témoignages, le présumé auteur du coup de couteau se serait fondu dans la nature après avoir commis cet acte.
D'après Setal.net et l'APS