Un coin du voile se lève sur les raisons du retrait de l’agrément de l’Ong «Lead Afrique» par l’Etat du Sénégal. « SourceA » révèle dans sa parution que le régime de Macky Sall traque des financements octroyés à "Y en marre".
Le Mouvement de Fadel Barro et Cie aurait bénéficié d'un financement de 350 millions F Cfa, dont 2017 (150 millions) et 2018 (200 millions) le Mouvement «Y en a marre», de la part de «Lead Afrique» et ce, via les Ong Oxfam et Enda, selon le journal. Qui ajoute que le Pouvoir a adressé, en début novembre 2018, à Oxfam et Enda, des mises en demeure, au détour desquelles, lesdites Ong ont 1 mois pour se prononcer sur les présumés financements qui seraient tombés entre les mains de Fadel Barro et Cie.
Le retrait de l’agrément de «Lead Afrique» pourrait ainsi s’élargir à d’autres Ong. Si bien sûr, précise SourceA, il est avéré que celles-ci ont posé des actes qui constituent une entorse manifeste à leurs obligations qui découlent du décret 2015-45 du 04 février 2015 fixant les modalités d’intervention des Ong au Sénégal.
Dans une déclaration publiée samedi, une dizaine d’Organisations de la société civile dont la Raddho et Amnesty dénoncent la « réduction de l’espace civique et d’entrave à la liberté des citoyens et des organisations de défense des droits humains.»
LERAL
Le Mouvement de Fadel Barro et Cie aurait bénéficié d'un financement de 350 millions F Cfa, dont 2017 (150 millions) et 2018 (200 millions) le Mouvement «Y en a marre», de la part de «Lead Afrique» et ce, via les Ong Oxfam et Enda, selon le journal. Qui ajoute que le Pouvoir a adressé, en début novembre 2018, à Oxfam et Enda, des mises en demeure, au détour desquelles, lesdites Ong ont 1 mois pour se prononcer sur les présumés financements qui seraient tombés entre les mains de Fadel Barro et Cie.
Le retrait de l’agrément de «Lead Afrique» pourrait ainsi s’élargir à d’autres Ong. Si bien sûr, précise SourceA, il est avéré que celles-ci ont posé des actes qui constituent une entorse manifeste à leurs obligations qui découlent du décret 2015-45 du 04 février 2015 fixant les modalités d’intervention des Ong au Sénégal.
Dans une déclaration publiée samedi, une dizaine d’Organisations de la société civile dont la Raddho et Amnesty dénoncent la « réduction de l’espace civique et d’entrave à la liberté des citoyens et des organisations de défense des droits humains.»
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