Pour le survivant de l'enfer, "quand ceux qui savent nager sont arrivés sur la plage, pour chercher des secours, les gens fuyaient...".
A l'en croire, ils étaient cent cinquante (150) au départ, mais à l'arrivée, seuls soixante six (66) restaient. "C'est douloureux et terrible. Nous sommes très fatigués", se remémore-t-il.
Quatre (4) d'entre eux sont retenus à l'hôpital , le reste convoyé à Santa Maria et ils magnifient la solidarité des sénégalais basés à Sal, la capitale touristique de Praïa.
LERAL
A l'en croire, ils étaient cent cinquante (150) au départ, mais à l'arrivée, seuls soixante six (66) restaient. "C'est douloureux et terrible. Nous sommes très fatigués", se remémore-t-il.
Quatre (4) d'entre eux sont retenus à l'hôpital , le reste convoyé à Santa Maria et ils magnifient la solidarité des sénégalais basés à Sal, la capitale touristique de Praïa.
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