Le secrétaire général du ministère de l’Environnement et du Développement durable, Amadou Lamine Guissé, a évoqué l’importance du secteur privé dans les politiques de réduction des gaz à effet de serre.
"Si nous parvenons à intégrer tout le secteur privé dans la dynamique de réduction des émissions de gaz à effet de serre, nous sommes conscients que d’ici à 2035, le Sénégal sera pris en exemple dans le cadre du respect des politiques environnementales définies au niveau mondial et auxquelles il a adhéré", a dit M. Guissé.
Il participait jeudi à l’ouverture de la troisième édition du "Sustainable Future Forum" (SFF), consacré aux énergies renouvelables et organisé pour la première fois en Afrique par le groupe bancaire BNP Paribas.
Le but de ce forum est de vulgariser les initiatives lancées par les entreprises en matière de "transmission énergétique" et de lutte contre les changements climatiques, selon l’organisateur.
Amadou Lamine Guissé dit être "heureux de constater que maintenant, les groupes financiers s’intéressent aux questions de développement durable", dans un contexte où "le phénomène des changements climatiques est une réalité qu’on ne peut plus occulter".
"Il fait de plus en plus chaud, les pluies deviennent de plus en plus rares. Et l’industrialisation est l’une des causes de ces changements climatiques", a expliqué M. Guissé.
Selon lui, c’est en raison de cette situation que les autorités sénégalaises ont élaboré de "nouvelles stratégies" de protection de l’environnement et de développement durable.
Le PSE vert, le Train express régional (TER), les centrales solaires de Thiès et de Saint-Louis et la "nouvelle ville intelligente et écologique" de Diamniadio font partie de ces stratégies.
"Voilà des initiatives très intéressantes, qui sont en train d’être mises en œuvre par l’Etat du Sénégal. Et nous sommes heureux de constater que des partenaires et des industriels sont en train de [voir] comment s’adapter et réduire leur niveau de consommation d’énergie, pour ne pas [détériorer] davantage le climat et (…) notre environnement", a souligné M. Guissé.
Le directeur des études et des relations extérieures de la BICIS, la filiale sénégalaise de BNP Paribas, Mouhamadou Ndiaye, estime qu’"une entreprise doit avoir une action significative sur son environnement", à travers notamment le "financement d’activités ou des investissements qui ont un fort impact sur l’environnement".
C’est parce que la politique de responsabilité sociétale d’entreprise n’est pas suffisante pour avoir l’impact souhaité en matière de développement durable que le groupe bancaire a décidé d’organiser le SFF, selon M. Ndiaye.
APS
"Si nous parvenons à intégrer tout le secteur privé dans la dynamique de réduction des émissions de gaz à effet de serre, nous sommes conscients que d’ici à 2035, le Sénégal sera pris en exemple dans le cadre du respect des politiques environnementales définies au niveau mondial et auxquelles il a adhéré", a dit M. Guissé.
Il participait jeudi à l’ouverture de la troisième édition du "Sustainable Future Forum" (SFF), consacré aux énergies renouvelables et organisé pour la première fois en Afrique par le groupe bancaire BNP Paribas.
Le but de ce forum est de vulgariser les initiatives lancées par les entreprises en matière de "transmission énergétique" et de lutte contre les changements climatiques, selon l’organisateur.
Amadou Lamine Guissé dit être "heureux de constater que maintenant, les groupes financiers s’intéressent aux questions de développement durable", dans un contexte où "le phénomène des changements climatiques est une réalité qu’on ne peut plus occulter".
"Il fait de plus en plus chaud, les pluies deviennent de plus en plus rares. Et l’industrialisation est l’une des causes de ces changements climatiques", a expliqué M. Guissé.
Selon lui, c’est en raison de cette situation que les autorités sénégalaises ont élaboré de "nouvelles stratégies" de protection de l’environnement et de développement durable.
Le PSE vert, le Train express régional (TER), les centrales solaires de Thiès et de Saint-Louis et la "nouvelle ville intelligente et écologique" de Diamniadio font partie de ces stratégies.
"Voilà des initiatives très intéressantes, qui sont en train d’être mises en œuvre par l’Etat du Sénégal. Et nous sommes heureux de constater que des partenaires et des industriels sont en train de [voir] comment s’adapter et réduire leur niveau de consommation d’énergie, pour ne pas [détériorer] davantage le climat et (…) notre environnement", a souligné M. Guissé.
Le directeur des études et des relations extérieures de la BICIS, la filiale sénégalaise de BNP Paribas, Mouhamadou Ndiaye, estime qu’"une entreprise doit avoir une action significative sur son environnement", à travers notamment le "financement d’activités ou des investissements qui ont un fort impact sur l’environnement".
C’est parce que la politique de responsabilité sociétale d’entreprise n’est pas suffisante pour avoir l’impact souhaité en matière de développement durable que le groupe bancaire a décidé d’organiser le SFF, selon M. Ndiaye.
APS