257 détenus membres du parti Pastef comptent faire une grève de la faim illimitée pour soutenir leur leader Ousmane Sonko. Selon Guy Marius Sagna qui donne l’information sur sa page Facebook
« Les 257 prisonniers politiques de Rebeuss membres pour l'essentiel de PASTEF ont décidé de commencer une grève de la faim illimitée ce lundi 08 mai 2023 », informe Guy Marius Sagna sur sa Facebook.
D’après lui, ces députés vont faire cette grève de faim pour : « exprimer leur solidarité au président Ousmane Sonko que le président Macky Sall cherche par plusieurs moyens illégaux et illégitimes à liquider politiquement. Ils sont en prison mais vont résister, dénoncer leurs séquestrations illégales et dire au monde qu'au Sénégal il y a des centaines de détenus politiques (justice à deux vitesses, manque de diligence dans les dossiers politiques...), la surpopulation carcérale à Rebeuss ».
Selon le leader de Frapp France dégage, l'Etat du Sénégal ayant eu vent de cette « grève de la faim a commencé à déplacer les détenus politiques en leur changeant de chambre et de prison ».
Il exige la libération des « 364 détenus politiques ».
« Les 257 prisonniers politiques de Rebeuss membres pour l'essentiel de PASTEF ont décidé de commencer une grève de la faim illimitée ce lundi 08 mai 2023 », informe Guy Marius Sagna sur sa Facebook.
D’après lui, ces députés vont faire cette grève de faim pour : « exprimer leur solidarité au président Ousmane Sonko que le président Macky Sall cherche par plusieurs moyens illégaux et illégitimes à liquider politiquement. Ils sont en prison mais vont résister, dénoncer leurs séquestrations illégales et dire au monde qu'au Sénégal il y a des centaines de détenus politiques (justice à deux vitesses, manque de diligence dans les dossiers politiques...), la surpopulation carcérale à Rebeuss ».
Selon le leader de Frapp France dégage, l'Etat du Sénégal ayant eu vent de cette « grève de la faim a commencé à déplacer les détenus politiques en leur changeant de chambre et de prison ».
Il exige la libération des « 364 détenus politiques ».