Source photo: Sophie Bachelier
Malgré les fortes pluies et le vent, les pêcheurs de Guet Ndar continuent de défier la mer. Mais, depuis l’installation de la saison des pluies, c’est la période des « vaches maigres » chez ces acteurs de la pêche. Le travail est au ralenti, mais ils se disent déterminés à affronter les eaux, le danger et parfois la mort au bout, pour subvenir aux besoins de leurs familles.
À Guet Ndar, où nos confrères de Libération ont visité le quai de pêche, les activités semblent aller normalement, et pourtant revendeurs, transformatrices et piroguiers discutent comme si de rien était, malgré le profond malaise imposé par la dure saison.« Les poissons sont rares, le danger nous guette. Nous sommes obligés d’affronter la tempête parce qu’on est pris en otage par les exigences familiales. On n’a pas le choix », se désole Baye Diop dit Lat Dior.
Avant d’ajouter : « Toutes les dispositions nécessaires sont prises. Le port de gilet de sauvetage est de rigueur ».Du côté des transformatrices, c’est le même calvaire. « Si les pirogues n’apportent pas assez de poissons, notre chiffre d’affaires diminue forcément. Nous espérons que la situation se décantera le plus rapidement possible ».
À Guet Ndar, où nos confrères de Libération ont visité le quai de pêche, les activités semblent aller normalement, et pourtant revendeurs, transformatrices et piroguiers discutent comme si de rien était, malgré le profond malaise imposé par la dure saison.« Les poissons sont rares, le danger nous guette. Nous sommes obligés d’affronter la tempête parce qu’on est pris en otage par les exigences familiales. On n’a pas le choix », se désole Baye Diop dit Lat Dior.
Avant d’ajouter : « Toutes les dispositions nécessaires sont prises. Le port de gilet de sauvetage est de rigueur ».Du côté des transformatrices, c’est le même calvaire. « Si les pirogues n’apportent pas assez de poissons, notre chiffre d’affaires diminue forcément. Nous espérons que la situation se décantera le plus rapidement possible ».