Les grandes surfaces de la capitale du Nord (Saint-Louis) grouillent quotidiennement de clients, surtout les après-midi en ce mois béni du Ramadan. Malgré la flambée des prix des marchandises, ces lieux, très fréquentés en cette période, sont souvent pris d’assaut par les populations saint-louisienne à la recherche de produits alimentaires.
Ainsi, malgré le temps de privation relatif au jeûne qu’observent les fidèles musulmans du Sénégal et de Saint-Louis en particulier, le mois du Ramadan reste paradoxalement le mois où ces derniers consomment le plus au Sénégal. Quel que soit le rang social qu’on occupe au sein de la société, les dépenses quotidiennes connaissent des hausses considérables dans tous les ménages des fidèles musulmans pendant cette période.
Pendant le mois béni, le musulman sénégalais ne rate jamais l’occasion de se faire plaisir à l’heure de la rupture du jeûne. Pourtant la conjugaison de différents facteurs intérieurs et extérieurs ont pourri la situation économique du pays et flambé les prix. Des difficultés économiques qui n’ont pas freiné l’ardeur des consommateurs, vu la forte affluence notée dans les grandes surfaces de Saint-Louis. Certains chefs et cheffes de famille profitent des week-ends prolongés pour se ravitailler en produits alimentaires dans un supermarché de la place. Poussant un chariot bien chargé de denrées.
« Les temps sont durs et tout est cher présentement mais le Ramadan est un mois tout particulier. L'organisme est mis durement à l'épreuve, donc il faut manger des aliments de bonne qualité à la fin de la journée. Il faut reconnaître également que les prix des denrées affichés dans les rayons sont abordables par rapport à ceux appliqués dans les marchés de la ville » a soutenu un client venu faire ses achats.
Avec cette cherté des produits, les dépenses sont presque doublées en période de Ramadan. Car si on dépensait 5.000 francs, maintenant, on débourse 8 000 francs ou plus quotidiennement durant ce mois. C’est cher pour les chefs de famille, mais les récompenses divines valent le coût » a fait savoir cette dame qui a préféré taire son prénom, portant deux sachets remplis de provisions.
Pour leur part, les commerçants de la vieille ville et les responsables du service régional du commerce de Saint-Louis ont rassuré que toutes les dispositions sont prises afin d’assurer un bon ravitaillement des marchés en denrées alimentaires pour tout ce mois béni du Ramadan.
NdarINFO
Ainsi, malgré le temps de privation relatif au jeûne qu’observent les fidèles musulmans du Sénégal et de Saint-Louis en particulier, le mois du Ramadan reste paradoxalement le mois où ces derniers consomment le plus au Sénégal. Quel que soit le rang social qu’on occupe au sein de la société, les dépenses quotidiennes connaissent des hausses considérables dans tous les ménages des fidèles musulmans pendant cette période.
Pendant le mois béni, le musulman sénégalais ne rate jamais l’occasion de se faire plaisir à l’heure de la rupture du jeûne. Pourtant la conjugaison de différents facteurs intérieurs et extérieurs ont pourri la situation économique du pays et flambé les prix. Des difficultés économiques qui n’ont pas freiné l’ardeur des consommateurs, vu la forte affluence notée dans les grandes surfaces de Saint-Louis. Certains chefs et cheffes de famille profitent des week-ends prolongés pour se ravitailler en produits alimentaires dans un supermarché de la place. Poussant un chariot bien chargé de denrées.
« Les temps sont durs et tout est cher présentement mais le Ramadan est un mois tout particulier. L'organisme est mis durement à l'épreuve, donc il faut manger des aliments de bonne qualité à la fin de la journée. Il faut reconnaître également que les prix des denrées affichés dans les rayons sont abordables par rapport à ceux appliqués dans les marchés de la ville » a soutenu un client venu faire ses achats.
Avec cette cherté des produits, les dépenses sont presque doublées en période de Ramadan. Car si on dépensait 5.000 francs, maintenant, on débourse 8 000 francs ou plus quotidiennement durant ce mois. C’est cher pour les chefs de famille, mais les récompenses divines valent le coût » a fait savoir cette dame qui a préféré taire son prénom, portant deux sachets remplis de provisions.
Pour leur part, les commerçants de la vieille ville et les responsables du service régional du commerce de Saint-Louis ont rassuré que toutes les dispositions sont prises afin d’assurer un bon ravitaillement des marchés en denrées alimentaires pour tout ce mois béni du Ramadan.
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