
Des enquêtes menées entre Dakar, Saint-Louis, Louga jusqu’à Vélingara ont révélé qu’à peu près 53% des Sénégalais font encore confiance à la justice Sénégalaise, ce, malgré toutes les critiques. Et, selon le Professeur en droit à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, Pape Ogo Seck, la question de la modernisation de la justice est un peu le résultat de ces informations.
«La modernisation de la justice est un peu le résultat d’une réflexion, de travaux du comité de modernisation de la justice de 2016, mais aussi d’informations issues d’enquête menées entre Dakar, Saint-Louis, Louga jusqu’à Vélingara», renseigne Pr Pape Ogo Seck.
Ces enquêtes ont permis de savoir, révèle-t-il : «qu’au Sénégal, malgré toutes les critiques, à peu près 53% des usagers font confiance à la justice». Cela veut dire «qu’il y a encore de l’espoir pour que le Sénégal puisse avoir une justice moderne, une justice 4G, capable de faire face aux défis mondiaux qui sont liés aux problèmes comme le terrorisme, à la découverte de gaz et de pétrole, à la cybercriminalité, entre autres», se réjouit-il.
A en croire le président de l’Association des juristes africains (AJA), pour avoir une indépendance de la justice, il ne faut pas obéir à un semblant de réforme, mais il doit s’agir d’un véritable pacte entre le peuple et l’Etat, entre les gouvernants et les gouvernés.
L’invité de l’émission Objection sur Sud Fm est d’avis que : «Si nous voulons avoir une justice vraiment moderne, nous devons éviter les trop fortes politisations de l’appareil. Entre les ordres politiques, les ordres économiques et l’ordre social, il faut faire en sorte qu’il ait un compromis entre tous les acteurs, entre les acteurs et les usagers».
PRESSAFRIK
«La modernisation de la justice est un peu le résultat d’une réflexion, de travaux du comité de modernisation de la justice de 2016, mais aussi d’informations issues d’enquête menées entre Dakar, Saint-Louis, Louga jusqu’à Vélingara», renseigne Pr Pape Ogo Seck.
Ces enquêtes ont permis de savoir, révèle-t-il : «qu’au Sénégal, malgré toutes les critiques, à peu près 53% des usagers font confiance à la justice». Cela veut dire «qu’il y a encore de l’espoir pour que le Sénégal puisse avoir une justice moderne, une justice 4G, capable de faire face aux défis mondiaux qui sont liés aux problèmes comme le terrorisme, à la découverte de gaz et de pétrole, à la cybercriminalité, entre autres», se réjouit-il.
A en croire le président de l’Association des juristes africains (AJA), pour avoir une indépendance de la justice, il ne faut pas obéir à un semblant de réforme, mais il doit s’agir d’un véritable pacte entre le peuple et l’Etat, entre les gouvernants et les gouvernés.
L’invité de l’émission Objection sur Sud Fm est d’avis que : «Si nous voulons avoir une justice vraiment moderne, nous devons éviter les trop fortes politisations de l’appareil. Entre les ordres politiques, les ordres économiques et l’ordre social, il faut faire en sorte qu’il ait un compromis entre tous les acteurs, entre les acteurs et les usagers».
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