Les africains écrivent d’une manière spécifique. Celle ci diffère du style latino romains ou du romano grecs. Pour les cheveux crépus et le nez épaté, la magie du verbe « wax » influe considérablement sur l’écriture « mbind ». Aussi, le verbe occupant un rôle éducatif dans la course. Alors le point de vue de l’anthropologue Oumar DIAGNE du CESTI, selon lequel « écrire c’est créer » est partagé avec Mayoro MBENGUE, Parolier Saint-louisien confirmé.
D’ailleurs il réussit un merveilleux accouplement de par la plume de « kocc barma » avec le verbe de « clew-tew » (un oiseau au cri matinal dans les contrées du Cayor et du Baol). Le jeune homme de 38 ans né à Mpal ayant fait ses études primaires et secondaires à Saint-Louis exerce la profession d’Agent de Développement Communautaire à l’ONG Plan Sénégal. Le goût de la création linguistique se réveille chez Mayoro MBENGUE dés la classe de 5éme au CEG Neuville à l’occasion du décès d’un de ses camarades de classe. Il rédigea un poème en hommage au défunt.
Dans ce genre littéraire, l’élève dégage le sens et la signification de la mort. Le poète en herbe se classa 2eme en participant au concours de poésie organisé par le Comite d’Action pour la Rénovation de Saint-Louis (CARSAL) en 1980. Mayoro, l’élève de 5eme surclassa ses douze concurrents dont onze étaient en première. Cette place d’honneur lui fut attribuée grâce à un poème intitulé « le parolier ».
L’émergence des langues nationales vers les années 1977 le conforte dans sa vocation d’écriture littéraire. La richesse et la diversité de ses œuvres percent à travers plus de 70 « taalif » en wolof, 04 poèmes en français et « livre pour enfants ».Les thèmes dominants s’articulent au tour de l’environnement, des problèmes de populations (sexualité précoce, drogue, planification familiale) et d’éducation (scolarisation des filles, formation professionnelle, etc.). Tout comme l’incitation à la découverte du patrimoine culturel et des valeurs traditionnelles de l’Afrique est récurrente dans ses pièces. Aujourd’hui, Mayoro envisage de réaliser des ouvrages à diffuser dans les classes d’alphabétisation de la commune et environnants. Deux chefs d’œuvres sont à son actif « Musibam sida » (relatant tous les aspect de la pandémie) inspiré au sortir d’ un séminaire, qui dispute la palme à («Taalif ci Kallaama Kocc»). Par ailleurs, il envisage l’adaptation des paroles d’une partie de ses œuvres à l’expression musicale tels que le Rap, le Mbalakh etc.
D’ailleurs il réussit un merveilleux accouplement de par la plume de « kocc barma » avec le verbe de « clew-tew » (un oiseau au cri matinal dans les contrées du Cayor et du Baol). Le jeune homme de 38 ans né à Mpal ayant fait ses études primaires et secondaires à Saint-Louis exerce la profession d’Agent de Développement Communautaire à l’ONG Plan Sénégal. Le goût de la création linguistique se réveille chez Mayoro MBENGUE dés la classe de 5éme au CEG Neuville à l’occasion du décès d’un de ses camarades de classe. Il rédigea un poème en hommage au défunt.
Dans ce genre littéraire, l’élève dégage le sens et la signification de la mort. Le poète en herbe se classa 2eme en participant au concours de poésie organisé par le Comite d’Action pour la Rénovation de Saint-Louis (CARSAL) en 1980. Mayoro, l’élève de 5eme surclassa ses douze concurrents dont onze étaient en première. Cette place d’honneur lui fut attribuée grâce à un poème intitulé « le parolier ».
L’émergence des langues nationales vers les années 1977 le conforte dans sa vocation d’écriture littéraire. La richesse et la diversité de ses œuvres percent à travers plus de 70 « taalif » en wolof, 04 poèmes en français et « livre pour enfants ».Les thèmes dominants s’articulent au tour de l’environnement, des problèmes de populations (sexualité précoce, drogue, planification familiale) et d’éducation (scolarisation des filles, formation professionnelle, etc.). Tout comme l’incitation à la découverte du patrimoine culturel et des valeurs traditionnelles de l’Afrique est récurrente dans ses pièces. Aujourd’hui, Mayoro envisage de réaliser des ouvrages à diffuser dans les classes d’alphabétisation de la commune et environnants. Deux chefs d’œuvres sont à son actif « Musibam sida » (relatant tous les aspect de la pandémie) inspiré au sortir d’ un séminaire, qui dispute la palme à («Taalif ci Kallaama Kocc»). Par ailleurs, il envisage l’adaptation des paroles d’une partie de ses œuvres à l’expression musicale tels que le Rap, le Mbalakh etc.