L’étau se resserre pour l’usine chinoise de Keur BARKA, sommée désormais de respecter les normes environnementales et de ne plus « polluer » les populations environnantes. Après la décision des populations de bloquer le passage des camions collecteurs de poissons, la semaine dernière, des autorités ont fait le déplacement, ce matin pour s’enquérir de la situation, a-t-on appris.
« Je leur ai dit d’arrêter immédiatement la pollution olfactive et de prendre les dispositions nécessaires pour que le voisinage ne sente plus la mauvaise odeur », a déclaré Arona SOW, le maire de GANDIOL joint par nos soins.
« J’ai le devoir de protéger ma population. Je ne peux pas accepter qu’elle subisse ce type d’injustice », a déclaré l’édile. « Tant que des filtres ne seront pas installés, l’usine ne fonctionnera pas », a-t-il indiqué.
Pourtant, la mise en place de ces dispositifs a été annoncée par cette unité de production de farine de poisson à la suite d’une mission de protection. N’ayant pas respecté l’ordonnance de l’autorité, la fumée grisâtre et nauséabonde était devenue plus forte.
La question qui taraude les esprits reste entière. Comment peut-on implanter une unité industrielle sur une zone fluviomaritime avec tant d’effets nuisibles sur la santé sans réaliser au préalable une étude d’impact environnemental ?
NDARINFO.COM
« Je leur ai dit d’arrêter immédiatement la pollution olfactive et de prendre les dispositions nécessaires pour que le voisinage ne sente plus la mauvaise odeur », a déclaré Arona SOW, le maire de GANDIOL joint par nos soins.
« J’ai le devoir de protéger ma population. Je ne peux pas accepter qu’elle subisse ce type d’injustice », a déclaré l’édile. « Tant que des filtres ne seront pas installés, l’usine ne fonctionnera pas », a-t-il indiqué.
Pourtant, la mise en place de ces dispositifs a été annoncée par cette unité de production de farine de poisson à la suite d’une mission de protection. N’ayant pas respecté l’ordonnance de l’autorité, la fumée grisâtre et nauséabonde était devenue plus forte.
La question qui taraude les esprits reste entière. Comment peut-on implanter une unité industrielle sur une zone fluviomaritime avec tant d’effets nuisibles sur la santé sans réaliser au préalable une étude d’impact environnemental ?
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