Des techniciens de ces différentes agences ont effectué une visite de terrain, la semaine dernière, après les moult alertes lancés par les populations et des environnementaux.
« Sur place le constat est le même que celui déjà fait par les médias », mentionne un compte rendu de cette tournée qui décrit « une forte mortalité de poissons, un « présence massive de la plante « gnanthie » ceratohylium » et une « eau noirâtre avec un écoulement ralenti par les végétaux ».
Le trio annonce un plan d’action « pour résoudre la problématique de la pollution de la réserve d’eau de Bango. Il visera à « améliorer l’hydraulicité depuis l’amont, « coordonner l’ouverture des vannes de l’ouvrage de Bango avec des ouvrages en tête du système » et « localiser les zones d’apports en nutriments du système Gorom-Lampsar ».
Les populations ont atteint la limite de leur patience. Sans attendre ces professions de foi, les populations de BANGO se sont encore mobilisées ce dimanche pour nettoyer la réserve avec leurs maigres moyens.
NDARINFO.COM
« Sur place le constat est le même que celui déjà fait par les médias », mentionne un compte rendu de cette tournée qui décrit « une forte mortalité de poissons, un « présence massive de la plante « gnanthie » ceratohylium » et une « eau noirâtre avec un écoulement ralenti par les végétaux ».
Le trio annonce un plan d’action « pour résoudre la problématique de la pollution de la réserve d’eau de Bango. Il visera à « améliorer l’hydraulicité depuis l’amont, « coordonner l’ouverture des vannes de l’ouvrage de Bango avec des ouvrages en tête du système » et « localiser les zones d’apports en nutriments du système Gorom-Lampsar ».
Les populations ont atteint la limite de leur patience. Sans attendre ces professions de foi, les populations de BANGO se sont encore mobilisées ce dimanche pour nettoyer la réserve avec leurs maigres moyens.
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