Le secrétaire général du Conseil départemental de Saint-Louis, Hamath Dia, a rappelé vendredi le ‘’rôle important’’ de la mangrove dans la sauvegarde et l’amélioration du cadre de vie des populations vivant autour de cet écosystème dont tous les acteurs doivent s’impliquer pour sa préservation.
”La mangrove joue un rôle important en offrant aux populations des opportunités de mener des activités génératrices de revenus”, a-t-il dit à la presse. Il s’exprimait à l’occasion de l’ouverture d’une table-ronde des partenaires pour la préservation de la mangrove, organisée en partenariat avec l’ONG Enda Rup.
”Cet écosystème présent au Saloum et en Casamance et qui joue un rôle important dans l’équilibre de l’environnement, a été un peu délaissé jusqu’à ce que l’institution départemental s’y mette, en collaboration avec des partenaires techniques et financiers pour sa préservation”.
Il signale que ”des activités de reboisement ont été entreprises pour préserver la mangrove’’, en plus d’’’activités de sensibilisation’’ destinée à ‘’éviter que l’action de l’homme ne la tue pas”.
Il a donné l’exemple de l’île de Doune Baba Dièye, sise près de Saint-Louis. Selon lui, après avoir été engloutie par les eaux, cette île renait grâce à l’activité reboisement de certains riverains dont le plus connu est Ahmed Diagne Sène. Ce dernier a fait l’objet de plusieurs documentaires et reportages de la presse nationale et étrangère, a-t-il rappelé.
Grace aux activités de reboisement, les femmes vivant autour de cet écosystème situé entre les communes de Saint-Louis, Gandiol et Ndiébène Gandiol font du maraîchage et mènent d’autres activités génératrices de revenus, explique-t-il.
Pour le directeur exécutif d’Enda Rup, Abdoulaye Cissé, cette activité s’inscrit dans le cadre de la territorialisation des objectifs de développement durable (ODD) et de la gouvernance des ressources forestière.
Selon lui, ”l’idée est que le développement ne peut se faire qu’à partir de la base’’. C’est ce qui explique, selon lui, ‘’le choix de collaborer avec le conseil départemental pour accompagner les communautés dans la lutte pour la préservation et la valorisation de la mangrove à Saint-Louis’’.
Les zones humides sont perçues comme de précieux écosystèmes jouant un rôle crucial dans l’équilibre écologique, économique et social et se retrouvent aujourd’hui au cœur des préoccupations environnementales au Sénégal, souligne un document remis à la presse par les organisateurs.
‘’Dans un contexte où la protection de notre environnement devient une priorité mondiale, poursuit le texte, l’intégration de ces territoires humides dans nos politiques urbaines et territoriales devient impérative pour assurer un avenir durable.’’
APS
”La mangrove joue un rôle important en offrant aux populations des opportunités de mener des activités génératrices de revenus”, a-t-il dit à la presse. Il s’exprimait à l’occasion de l’ouverture d’une table-ronde des partenaires pour la préservation de la mangrove, organisée en partenariat avec l’ONG Enda Rup.
”Cet écosystème présent au Saloum et en Casamance et qui joue un rôle important dans l’équilibre de l’environnement, a été un peu délaissé jusqu’à ce que l’institution départemental s’y mette, en collaboration avec des partenaires techniques et financiers pour sa préservation”.
Il signale que ”des activités de reboisement ont été entreprises pour préserver la mangrove’’, en plus d’’’activités de sensibilisation’’ destinée à ‘’éviter que l’action de l’homme ne la tue pas”.
Il a donné l’exemple de l’île de Doune Baba Dièye, sise près de Saint-Louis. Selon lui, après avoir été engloutie par les eaux, cette île renait grâce à l’activité reboisement de certains riverains dont le plus connu est Ahmed Diagne Sène. Ce dernier a fait l’objet de plusieurs documentaires et reportages de la presse nationale et étrangère, a-t-il rappelé.
Grace aux activités de reboisement, les femmes vivant autour de cet écosystème situé entre les communes de Saint-Louis, Gandiol et Ndiébène Gandiol font du maraîchage et mènent d’autres activités génératrices de revenus, explique-t-il.
Pour le directeur exécutif d’Enda Rup, Abdoulaye Cissé, cette activité s’inscrit dans le cadre de la territorialisation des objectifs de développement durable (ODD) et de la gouvernance des ressources forestière.
Selon lui, ”l’idée est que le développement ne peut se faire qu’à partir de la base’’. C’est ce qui explique, selon lui, ‘’le choix de collaborer avec le conseil départemental pour accompagner les communautés dans la lutte pour la préservation et la valorisation de la mangrove à Saint-Louis’’.
Les zones humides sont perçues comme de précieux écosystèmes jouant un rôle crucial dans l’équilibre écologique, économique et social et se retrouvent aujourd’hui au cœur des préoccupations environnementales au Sénégal, souligne un document remis à la presse par les organisateurs.
‘’Dans un contexte où la protection de notre environnement devient une priorité mondiale, poursuit le texte, l’intégration de ces territoires humides dans nos politiques urbaines et territoriales devient impérative pour assurer un avenir durable.’’
APS