"Le statut du surveillant-pêcheur est prévu dans le code de la pêche, c’est le ministre le Pêche qui doit prendre un arrêté’’ pour qu’il soit effectif, a-t-il dit, rappelant que depuis 2012, il est "dans le circuit".
Selon lui, la suppression du poste de Premier ministre a ralenti le processus administratif.
M. Guèye s’exprimait au cours d’un atelier de deux jours regroupant les acteurs de la pêche, la direction de la protection et de la surveillance des pêches (DPSP) et l’Assemblée nationale.
"Il est devenu une nécessité pour que l’ensemble des acteurs puissent participer à la gestion durable des ressources halieutiques. Il faut qu’il ait un statut du surveillant pêcheur mais sans oublier que la surveillance est un domaine régalien de l’état du Sénégal", a-t-il insisté.
Gaoussou Guèye dit espérer la mise en place en place de ce cadre juridique avec le retour du poste de Premier ministre pour relancer ce débat afin que les ‘’ressources soient mieux gérées’’.
"La surveillance et la gestion des ressources halieutiques, c’est une responsabilité de l’Etat du Sénégal mais les ressources halieutiques appartiennent au peuple, c’est dans ce cadre que le Sénégal a décidé de mettre en place un système de cogestion", a-t-il fait savoir.
Par cette démarche, l’Etat délègue une partie de ses responsabilités aux citoyens à travers des organisations professionnelles notamment les comités locaux des pêcheurs (CLP) et les conseils locaux de pêche artisanale (CLPA).
L’achèvement de ce processus " serait un plus dans le processus juridique et réglementaire qui encadre l’activité de pêche tant au niveau industriel qu’au niveau artisanal", a pour sa part indiqué Ousmane Niang Sèye, ingénieur de pêche à la direction de la surveillance des pêches du Sénégal.
Pape Djibril Fall, député, membre de la commission en charge du Développement durable qui polarise la pêche, l’élevage, l’agriculture et l’hydraulique rurale a pris part à cette rencontre.
Il a souligné que c’est une occasion pour mieux comprendre ‘’les préoccupations et aspirations’’ des acteurs de la pêche.
"Il faut bien entendu qu’il y ait tout un dispositif législatif autour de leur statut pouvant leur permettre de faire ce travail dans une approche participative de cogestion parce que leur implication est fondamentale’’, a-t-il martelé.
Le député est d’avis que le développement du Sénégal ne peut se faire sans le secteur primaire qui "est fondamental’’.
APS
Selon lui, la suppression du poste de Premier ministre a ralenti le processus administratif.
M. Guèye s’exprimait au cours d’un atelier de deux jours regroupant les acteurs de la pêche, la direction de la protection et de la surveillance des pêches (DPSP) et l’Assemblée nationale.
"Il est devenu une nécessité pour que l’ensemble des acteurs puissent participer à la gestion durable des ressources halieutiques. Il faut qu’il ait un statut du surveillant pêcheur mais sans oublier que la surveillance est un domaine régalien de l’état du Sénégal", a-t-il insisté.
Gaoussou Guèye dit espérer la mise en place en place de ce cadre juridique avec le retour du poste de Premier ministre pour relancer ce débat afin que les ‘’ressources soient mieux gérées’’.
"La surveillance et la gestion des ressources halieutiques, c’est une responsabilité de l’Etat du Sénégal mais les ressources halieutiques appartiennent au peuple, c’est dans ce cadre que le Sénégal a décidé de mettre en place un système de cogestion", a-t-il fait savoir.
Par cette démarche, l’Etat délègue une partie de ses responsabilités aux citoyens à travers des organisations professionnelles notamment les comités locaux des pêcheurs (CLP) et les conseils locaux de pêche artisanale (CLPA).
L’achèvement de ce processus " serait un plus dans le processus juridique et réglementaire qui encadre l’activité de pêche tant au niveau industriel qu’au niveau artisanal", a pour sa part indiqué Ousmane Niang Sèye, ingénieur de pêche à la direction de la surveillance des pêches du Sénégal.
Pape Djibril Fall, député, membre de la commission en charge du Développement durable qui polarise la pêche, l’élevage, l’agriculture et l’hydraulique rurale a pris part à cette rencontre.
Il a souligné que c’est une occasion pour mieux comprendre ‘’les préoccupations et aspirations’’ des acteurs de la pêche.
"Il faut bien entendu qu’il y ait tout un dispositif législatif autour de leur statut pouvant leur permettre de faire ce travail dans une approche participative de cogestion parce que leur implication est fondamentale’’, a-t-il martelé.
Le député est d’avis que le développement du Sénégal ne peut se faire sans le secteur primaire qui "est fondamental’’.
APS