Du nouveau dans la série de révélations concernant la gestion du pétrole et du gaz. Le groupe E MEDIA est en possession d’une enquête réalisée par les structures de l’Etat. Le rapport de l’Inspection générale d’Etat (IGE) dont la déclassification est réclamée par plusieurs acteurs pourrait révéler plusieurs autres ramifications depuis le début de ce méli-mélo. Parmi les mis en cause, une société publique sénégalaise : PETROSEN, la société des pétroles du Sénégal. Un versement d’un montant de 3 millions de dollars US (environ 1,750 milliard F CFA) serait fait dans les comptes de ladite société, dans une banque parisienne et la traçabilité du montant avait été perdue, depuis lors, selon les enquêteurs.
Dans une édition spéciale sur iRadio (90.3 FM), animée par Mamoudou Ibra Kane, avec Me Moussa Sarr comme invité, mais également Me Seydou Diagne, un des avocats membres du collectif de défense de l’ancien ministre en charge de l’Energie, Karim Maissa Wade. Ce dernier fut le dernier ministre, sous le magistère de Me Wade, à diriger ledit ministère. Les deux invités estiment qu’il urge de déclassifier le rapport de l’IGE pour permettre à la vérité d’éclater dans cette affaire aux multiples zones d’ombres. De l’avis de Me Moussa Sarr, il y a plusieurs incongruités, comme celle d’octroyer des licences à une société (Petro-Tim Senegal) qui, juridiquement, n’avait pas encore été créée. Pour Me Diagne, la responsabilité d’une telle signature ne peut qu’incomber au président de la République et le décret d’approbation est l’acte qui officialise la transaction.
Dans une édition spéciale sur iRadio (90.3 FM), animée par Mamoudou Ibra Kane, avec Me Moussa Sarr comme invité, mais également Me Seydou Diagne, un des avocats membres du collectif de défense de l’ancien ministre en charge de l’Energie, Karim Maissa Wade. Ce dernier fut le dernier ministre, sous le magistère de Me Wade, à diriger ledit ministère. Les deux invités estiment qu’il urge de déclassifier le rapport de l’IGE pour permettre à la vérité d’éclater dans cette affaire aux multiples zones d’ombres. De l’avis de Me Moussa Sarr, il y a plusieurs incongruités, comme celle d’octroyer des licences à une société (Petro-Tim Senegal) qui, juridiquement, n’avait pas encore été créée. Pour Me Diagne, la responsabilité d’une telle signature ne peut qu’incomber au président de la République et le décret d’approbation est l’acte qui officialise la transaction.