Le Professeur Michel PIERRE a insisté mercredi sur le rôle de l’iconographie dans la propagande colonialiste, en expliquant que l’usage de l’image publicitaire a contribué à convaincre les plus réfractaires sur l’intérêt de prendre procession de certains pôles territoriaux.
La transmission de ces idéaux est passée par une publicité sur certaines figures présentées en héros, selon le professeur PIERRE qui a évoqué le cas des militaires, missionnaires et des troupes indigènes dans les manuels scolaires.
L'Exposition coloniale inaugurée en mai 1931 sur le site du bois de Vincennes, sous la direction du maréchal Lyautey, montre une évolution de l’esprit colonialiste et une volonté de visiter les richesses et les splendeurs de la "plus grande France", les territoires colonisés par la France depuis plusieurs siècles sur les cinq continents.
Deux-miles (2000) figurants venus de toutes les colonies notamment d'Afrique noire, de Madagascar, d'Afrique du Nord, d'Indochine, de Syrie et du Liban, des représentations de monuments symboliques de certains terroirs indigènes pa des pavillons, des expositions d’artistes français dont les toiles représentent la vie des territoires colonisés (Gauguin), des spectacles de nuit, ont permis de drainer 8 à 9 millions de visiteurs.
Différents moyens de transport ont été mis la disposition du public, dont un chemin de fer circulaire de 5,5 km, comprenant 6 stations, 50 cars électriques, 16 bateaux à moteur, de nombreuses embarcations à rames sur le lac et 30 autres pour les attractions nautiques.
« La France et ses alliés (la Belgique, l’Italie et les USA) ont voulu rendre hommage à la culture de ces contrées », explique M. PIERRE, agrégé d’histoire, licencié d’histoire de l’Art et archéologie.
L’organisation de cette conférence est une initiative de la division "Activités culturelles" du Rectorat, dans le cadre de l’animation scientifique de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Cette direction donne aux étudiants de l’UGB « l’opportunité d’exploiter leurs talents », à travers des prestations d’artistes professionnels et master class, selon Ibrahima THIAM, son directeur.
« L’idée repose sur la découverte d’une richesse culturelle et l’organisation d’évènements de ce type », a indiqué M. THIAM, rappelant que plusieurs collaborations avec des institutions culturelles à Saint-Louis sont préconisées.
Suivez les explications de M. THIAM
La transmission de ces idéaux est passée par une publicité sur certaines figures présentées en héros, selon le professeur PIERRE qui a évoqué le cas des militaires, missionnaires et des troupes indigènes dans les manuels scolaires.
L'Exposition coloniale inaugurée en mai 1931 sur le site du bois de Vincennes, sous la direction du maréchal Lyautey, montre une évolution de l’esprit colonialiste et une volonté de visiter les richesses et les splendeurs de la "plus grande France", les territoires colonisés par la France depuis plusieurs siècles sur les cinq continents.
Deux-miles (2000) figurants venus de toutes les colonies notamment d'Afrique noire, de Madagascar, d'Afrique du Nord, d'Indochine, de Syrie et du Liban, des représentations de monuments symboliques de certains terroirs indigènes pa des pavillons, des expositions d’artistes français dont les toiles représentent la vie des territoires colonisés (Gauguin), des spectacles de nuit, ont permis de drainer 8 à 9 millions de visiteurs.
Différents moyens de transport ont été mis la disposition du public, dont un chemin de fer circulaire de 5,5 km, comprenant 6 stations, 50 cars électriques, 16 bateaux à moteur, de nombreuses embarcations à rames sur le lac et 30 autres pour les attractions nautiques.
« La France et ses alliés (la Belgique, l’Italie et les USA) ont voulu rendre hommage à la culture de ces contrées », explique M. PIERRE, agrégé d’histoire, licencié d’histoire de l’Art et archéologie.
L’organisation de cette conférence est une initiative de la division "Activités culturelles" du Rectorat, dans le cadre de l’animation scientifique de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Cette direction donne aux étudiants de l’UGB « l’opportunité d’exploiter leurs talents », à travers des prestations d’artistes professionnels et master class, selon Ibrahima THIAM, son directeur.
« L’idée repose sur la découverte d’une richesse culturelle et l’organisation d’évènements de ce type », a indiqué M. THIAM, rappelant que plusieurs collaborations avec des institutions culturelles à Saint-Louis sont préconisées.
Suivez les explications de M. THIAM
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