Les travaux Restauration des conditions hydrologiques et des écosystèmes du système du lac de Guiers afin de contribuer à une croissance plus inclusive dans les régions de Saint Louis et de Louga, engagés dans le cadre du Projet PREFELAG suivent leur cours.
Les curages et drainages des chenaux qui alimentent la réserve avifaune du NDIAEL, entamés en 2013, devront à terme, l’alimentation correcte de la Grande marre. Le NDIAEL portera ainsi les mêmes fonctionnements environnementaux que le Parc National du Djoiudj.
L’implantation de nichoirs, la création de 7 km de chenal pour les pirogues, les endiguements pérennisant l’accès à l’eau, l’érection de campements touristiques aux abords, l’installation d’une piste pour faciliter le trajet, donneront à cet écosystème des propriétés économiques importantes au bénéfice des 57 villages environnants.
« La revitalisation du NDIAEL sera effective en juillet 2016 et eau sera disponible dans tous les villages périphériques », a indiqué vendredi Sidy FALL, directeur technique de l’Office du Lac de Guiers (OLAG), en marge d’une présentation des résultats d’une mission de la Composante FEM de ce projet.
Cette rencontre entre les experts de la SAED, de l’OMVS, du chef du Service du tourisme et des représentants des collectivités locales a permis de peaufiner les activités identifiées par le comité de gestion du PREFELAG et planifier sa démarche avec l’ensemble des parties prenantes.
« Trente (30) mille ha de terres cultivables seront créés », a signalé M. FALL qui précise qu’un taux de 51 % travaux a été atteint depuis le démarrage des aménagements, en 2013.
Pour les travaux de restructuration et le renforcement des capacités hydrologiques du canal de la Taouey (17km), 70% d’avancement a été enregistré grâce à l’engagement de la Banque Africaine de Développement (BAD).
« Le NIÉTY YONE qui s’étend 28 kilomètres sera curé et stabilisé pour faciliter passage de l’eau. Le typha sera également dégagé », a indiqué M. FALL qui note que la disponibilité de cette eau va permettre également de lutter contre les maladies hydriques.
Ainsi, au terme de ces travaux, le retrait de la Réserve d’avifaune du Ndiaël du registre de Montreux où elle est inscrite, sera acquis.
« L’implication de la composante Fonds Mondial pour l’Environnement (FEM) vise à créer une adéquation parfaite entre les résultats des travaux et les exigences des populations », a rappelé M. FALL dont voici les explications en vidéo.
Les curages et drainages des chenaux qui alimentent la réserve avifaune du NDIAEL, entamés en 2013, devront à terme, l’alimentation correcte de la Grande marre. Le NDIAEL portera ainsi les mêmes fonctionnements environnementaux que le Parc National du Djoiudj.
L’implantation de nichoirs, la création de 7 km de chenal pour les pirogues, les endiguements pérennisant l’accès à l’eau, l’érection de campements touristiques aux abords, l’installation d’une piste pour faciliter le trajet, donneront à cet écosystème des propriétés économiques importantes au bénéfice des 57 villages environnants.
« La revitalisation du NDIAEL sera effective en juillet 2016 et eau sera disponible dans tous les villages périphériques », a indiqué vendredi Sidy FALL, directeur technique de l’Office du Lac de Guiers (OLAG), en marge d’une présentation des résultats d’une mission de la Composante FEM de ce projet.
Cette rencontre entre les experts de la SAED, de l’OMVS, du chef du Service du tourisme et des représentants des collectivités locales a permis de peaufiner les activités identifiées par le comité de gestion du PREFELAG et planifier sa démarche avec l’ensemble des parties prenantes.
« Trente (30) mille ha de terres cultivables seront créés », a signalé M. FALL qui précise qu’un taux de 51 % travaux a été atteint depuis le démarrage des aménagements, en 2013.
Pour les travaux de restructuration et le renforcement des capacités hydrologiques du canal de la Taouey (17km), 70% d’avancement a été enregistré grâce à l’engagement de la Banque Africaine de Développement (BAD).
« Le NIÉTY YONE qui s’étend 28 kilomètres sera curé et stabilisé pour faciliter passage de l’eau. Le typha sera également dégagé », a indiqué M. FALL qui note que la disponibilité de cette eau va permettre également de lutter contre les maladies hydriques.
Ainsi, au terme de ces travaux, le retrait de la Réserve d’avifaune du Ndiaël du registre de Montreux où elle est inscrite, sera acquis.
« L’implication de la composante Fonds Mondial pour l’Environnement (FEM) vise à créer une adéquation parfaite entre les résultats des travaux et les exigences des populations », a rappelé M. FALL dont voici les explications en vidéo.