Notre enquête sur le processus d’implantation de l’Usine chinoise à Keur Barka, dans la commune de GANDIOL, fait d’état de graves irrégularités.
D’abord, les Chinois avaient déclaré au départ, comme activité principale, la conservation et la transformation de produits halieutiques. Aujourd’hui, ils s’activent dans la fabrication intense de farine poisson.
Pire, aucune étude environnementale n’a été faite avant le démarrage de l’exploitation. D’ailleurs, un audit sera lancé conformément à la nouvelle activité industrielle à laquelle ils se livrent.
L’on s’interroge sur la nature de l’autorisation qu’ils auraient reçue pour pouvoir s’installer dans un domaine national.
En tout cas, depuis le démarrage de l’usine de graves dégâts sur l’environnement sont enregistrés. La souffrance des populations forcées de supporter ses nuisances, s’empire de jour en jour.
En dehors de la pollution atmosphérique qu’elle génère au moyen d’une courte cheminée qui envoie des odeurs nauséabondes dans plusieurs localités voisines, des infections olfactives terrorisent les personnes souffrants de rhumatisme. Le déversement de déchets liquides dans le fleuve tue la biosphère fluviale.
Des répercussions sur la santé des habitants qui transpirent la fumée peuvent surgir dans les années à venir.
Des poissons morts sont constamment retrouvés autour du canal. Des pécheurs véreux les récoltent et les vendent dans le marché.
NDARINFO.COM
D’abord, les Chinois avaient déclaré au départ, comme activité principale, la conservation et la transformation de produits halieutiques. Aujourd’hui, ils s’activent dans la fabrication intense de farine poisson.
Pire, aucune étude environnementale n’a été faite avant le démarrage de l’exploitation. D’ailleurs, un audit sera lancé conformément à la nouvelle activité industrielle à laquelle ils se livrent.
L’on s’interroge sur la nature de l’autorisation qu’ils auraient reçue pour pouvoir s’installer dans un domaine national.
En tout cas, depuis le démarrage de l’usine de graves dégâts sur l’environnement sont enregistrés. La souffrance des populations forcées de supporter ses nuisances, s’empire de jour en jour.
En dehors de la pollution atmosphérique qu’elle génère au moyen d’une courte cheminée qui envoie des odeurs nauséabondes dans plusieurs localités voisines, des infections olfactives terrorisent les personnes souffrants de rhumatisme. Le déversement de déchets liquides dans le fleuve tue la biosphère fluviale.
Des répercussions sur la santé des habitants qui transpirent la fumée peuvent surgir dans les années à venir.
Des poissons morts sont constamment retrouvés autour du canal. Des pécheurs véreux les récoltent et les vendent dans le marché.
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