Monsieur Thierry Dessolas, directeur de l’Institut a fait l’introduction du livre en ces termes : « Abdoukhadre Diallo, nous propose, avec force douceur, d’inspirer l’air rare de « fastes instants d’éternité » et de fêter l’amour retrouvé, ici et maintenant, comme si demain était classé sans suite.
« Celle que l’on attendait plus » pourrait désigner la vie que l’on a perdu, la privation de liberté, la félicité retrouvée : une flamme qui repart de plus belle dans la nuit de l’esprit. Il ajoute : «il n’y a sur terre que deux choses précieuses écrivait Gaston Berger dans son testament, la première, c’est l’amour. La seconde, bien loin derrière, c’est l’intelligence. Amour et intelligence ne se séparent d’ailleurs pas à qui entend bien le sens. En dehors de cela, il n’y a rien. »
Abdoukhadre Diallo nous guide à pas légers et à mots comptés jusqu’à cette vérité ardente qui n’est évidente pour personne.
L’auteur, après l’avoir remercié pour avoir introduit « Celle que j’attendais » avec l’intelligence du cœur, lui a souhaité bon vent et bonne chance dans ses nouvelles fonctions, tout en louant sa générosité et son sens du partage.
Le professeur Mouhamed Habib Kébé a présenté le livre et madame Annie Coly, proviseur du lycée Seydou Nourou Tall de Dakar a modéré les débats. Plusieurs invités sont intervenus, qui pour lire un poème ou faire un témoignage sur l’auteur et son épouse à qui le livre est dédié.
Le poète a remercié également remercié Marie Madeleine Valfroy, pour lui avoir permis d’utiliser une œuvre de son défunt mari, l’éminent artiste plasticien Jacob Yacouba, intitulée « La marche nuptiale » pour illustrer la page de couverture du livre.
A la fin de la cérémonie, Abdoukhadre Diallo a déclaré qu’il était essentiel de revenir à l’essence de la poésie et qu’il restait attentif au sens du texte et sa musicalité. Ajoutant que son but ultime est d’émouvoir et pour cela, il laisse ses poèmes vibrer dans l’imagination du lecteur.
« Celle que l’on attendait plus » pourrait désigner la vie que l’on a perdu, la privation de liberté, la félicité retrouvée : une flamme qui repart de plus belle dans la nuit de l’esprit. Il ajoute : «il n’y a sur terre que deux choses précieuses écrivait Gaston Berger dans son testament, la première, c’est l’amour. La seconde, bien loin derrière, c’est l’intelligence. Amour et intelligence ne se séparent d’ailleurs pas à qui entend bien le sens. En dehors de cela, il n’y a rien. »
Abdoukhadre Diallo nous guide à pas légers et à mots comptés jusqu’à cette vérité ardente qui n’est évidente pour personne.
L’auteur, après l’avoir remercié pour avoir introduit « Celle que j’attendais » avec l’intelligence du cœur, lui a souhaité bon vent et bonne chance dans ses nouvelles fonctions, tout en louant sa générosité et son sens du partage.
Le professeur Mouhamed Habib Kébé a présenté le livre et madame Annie Coly, proviseur du lycée Seydou Nourou Tall de Dakar a modéré les débats. Plusieurs invités sont intervenus, qui pour lire un poème ou faire un témoignage sur l’auteur et son épouse à qui le livre est dédié.
Le poète a remercié également remercié Marie Madeleine Valfroy, pour lui avoir permis d’utiliser une œuvre de son défunt mari, l’éminent artiste plasticien Jacob Yacouba, intitulée « La marche nuptiale » pour illustrer la page de couverture du livre.
A la fin de la cérémonie, Abdoukhadre Diallo a déclaré qu’il était essentiel de revenir à l’essence de la poésie et qu’il restait attentif au sens du texte et sa musicalité. Ajoutant que son but ultime est d’émouvoir et pour cela, il laisse ses poèmes vibrer dans l’imagination du lecteur.