SSI: Pourquoi cette formule inhabituelle en doublettes choisies?
Ousmane Bâ: Annuellement notre club de la Renaissance pilote un concours avec une formule en triplettes choisies. Et pour innover ces 14 et 15 mai à venir, nous allons jouer en doublettes choisies. Ceci ne découle pas forcément de raisons financières mais juste dans une optique de changer un peu les données de l’organisation au sein de la Renaissance de Saint Louis. Toutefois, la pétanque est un milieu de modestes et où les problèmes économiques ne manquent quasiment jamais. Il revient toujours donc aux présidents de clubs de se décarcasser avec l’appui fédéral et souvent des autorités locales.
SSI : Qu’est qui fait la renommée de la Renaissance de Saint Louis?
Je suis président de ce club depuis bientôt plus de cinq ans. Dans le domaine national comme international, notre formation est très célèbre. Ceci en raison des grands joueurs qui ont eu à y évoluer par le passé et ceux qui ont aujourd’hui continuent de faire des étincelles. Je veux nommer les Yankhoba Ndir dit Jacob et Baye Sall pour le passé. Et de nos jours, d’internationaux de la trempe de Yakhaya Diop, Khadim Diagne dit Indo. Sans oublier des boulistes de la diaspora à l’instar de Babacar Dieng en Italie et Lamine Diéye. Nous n’avons pas de moyens immenses à la Renaissance, mais par notre engagement et imagination notre club parvient à rayonner au Sénégal comme partout ailleurs dans le monde.
SSI: Toutefois l’inexistence d’un boulodrome est toujours plombant?
Tous les clubs de pétanque de Saint Louis s’entraînent sur l’espace aménagé de l’Isra. C’est juste un terrain et non un boulodrome au sens propre du mot. N’empêche l’harmonie et l’esprit convivial est notoire entre boulistes, en dépit des différentes formations recensées dans cette capitale du Nord. Cependant, le nouveau maire Mansour Faye a promis un vrai boulodrome. Et les travaux sont très avancés au niveau de la Maison de l’Ile. Pour une réception espérée de cette infrastructure sportive en 2017.
SENESPORT.INFO
Ousmane Bâ: Annuellement notre club de la Renaissance pilote un concours avec une formule en triplettes choisies. Et pour innover ces 14 et 15 mai à venir, nous allons jouer en doublettes choisies. Ceci ne découle pas forcément de raisons financières mais juste dans une optique de changer un peu les données de l’organisation au sein de la Renaissance de Saint Louis. Toutefois, la pétanque est un milieu de modestes et où les problèmes économiques ne manquent quasiment jamais. Il revient toujours donc aux présidents de clubs de se décarcasser avec l’appui fédéral et souvent des autorités locales.
SSI : Qu’est qui fait la renommée de la Renaissance de Saint Louis?
Je suis président de ce club depuis bientôt plus de cinq ans. Dans le domaine national comme international, notre formation est très célèbre. Ceci en raison des grands joueurs qui ont eu à y évoluer par le passé et ceux qui ont aujourd’hui continuent de faire des étincelles. Je veux nommer les Yankhoba Ndir dit Jacob et Baye Sall pour le passé. Et de nos jours, d’internationaux de la trempe de Yakhaya Diop, Khadim Diagne dit Indo. Sans oublier des boulistes de la diaspora à l’instar de Babacar Dieng en Italie et Lamine Diéye. Nous n’avons pas de moyens immenses à la Renaissance, mais par notre engagement et imagination notre club parvient à rayonner au Sénégal comme partout ailleurs dans le monde.
SSI: Toutefois l’inexistence d’un boulodrome est toujours plombant?
Tous les clubs de pétanque de Saint Louis s’entraînent sur l’espace aménagé de l’Isra. C’est juste un terrain et non un boulodrome au sens propre du mot. N’empêche l’harmonie et l’esprit convivial est notoire entre boulistes, en dépit des différentes formations recensées dans cette capitale du Nord. Cependant, le nouveau maire Mansour Faye a promis un vrai boulodrome. Et les travaux sont très avancés au niveau de la Maison de l’Ile. Pour une réception espérée de cette infrastructure sportive en 2017.
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