La Banque mondiale (BM) et l’Agence française de développement (AFD), partenaires financiers de l’Etat sénégalais dans la mise en œuvre du Programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal (PACASEN), ont mis à la disposition du Trésor public leurs apports financiers pour le démarrage effectif du projet, a appris mercredi l’APS.
‘’La Banque mondiale (BM) et l’Agence française de développement (AFD), deux bailleurs du PACASEN partenaires de l’Etat du Sénégal ont mis leurs apports financiers au niveau du Trésor public sénégalais’’, a révélé Salim S. Rouhana, chargé de programmes à la BM.
‘’Nous avons mis les ressources qui nous engagent au niveau du trésor public sénégalais’’, a-t-il ajouté, en marge d’un atelier d’information et de partage des objectifs du PACASEN.
Il a précisé qu’’’il ne reste plus qu’un effort procédural du gouvernement sénégalais pour que les ressources soient disponibles dans quelques semaines [pour les] communes bénéficiaires’’, a-t-il soutenu.
M. Rouhana a indiqué que l’apport de la Banque mondiale dans le cadre du PACASEN tourne autour de 55 milliards de francs CFA.
Conçu par l’Etat du Sénégal, ce programme est co-financé à hauteur de 130 milliards de francs CFA par la Banque mondiale (BM), l’Agence française de développement (AFD) pour 45 milliards de francs CFA et l’Etat du Sénégal, dont la contribution s’élève à 30 milliards de francs CFA.
Il va couvrir dans sa phase pilote 123 communes et villes dont six dans la région de Fatick : Dioffior, Fatick, Foundiougne, Passy, Sokone et Gossas.
Le secrétaire général de l’Agence de développement municipal (ADM), Mamadou Wade, a rappelé que’’ le PACASEN devrait normalement entrer en vigueur en fin juin 2018’’. Mais à cause des réformes entreprises, il le sera finalement en novembre 2018.
Il a expliqué que le retard noté dans le démarrage du PACASEN s’explique par ’’le fait qu’il fallait une réforme du Fonds d’équipements des collectivités locales (FECL) par une très grande concertation des élus’’. Il a confié que ce fut pas une affaire de tout repos.
‘’Pour l’entrée en vigueur de ce programme, une des modalités à satisfaire par le Gouvernement, c’est de réformer ce fonds, un réceptacle des financements du PACASEN, en quelque sorte le véhicule financier de ce programme’’, a-t-il encore expliqué.
Le programme était initialement prévu sur une durée de cinq ans, de 2018 jusqu’en 2023. Cependant, à cause du retard d’un an accusé dans le démarrage, les réalisations prévues en 2018 seront faites en 2019, a expliqué M. Wade.
Le séminaire d’information a enregistré la participation de toutes les parties prenantes à ce programme dont les partenaires techniques et financiers.
APS
‘’La Banque mondiale (BM) et l’Agence française de développement (AFD), deux bailleurs du PACASEN partenaires de l’Etat du Sénégal ont mis leurs apports financiers au niveau du Trésor public sénégalais’’, a révélé Salim S. Rouhana, chargé de programmes à la BM.
‘’Nous avons mis les ressources qui nous engagent au niveau du trésor public sénégalais’’, a-t-il ajouté, en marge d’un atelier d’information et de partage des objectifs du PACASEN.
Il a précisé qu’’’il ne reste plus qu’un effort procédural du gouvernement sénégalais pour que les ressources soient disponibles dans quelques semaines [pour les] communes bénéficiaires’’, a-t-il soutenu.
M. Rouhana a indiqué que l’apport de la Banque mondiale dans le cadre du PACASEN tourne autour de 55 milliards de francs CFA.
Conçu par l’Etat du Sénégal, ce programme est co-financé à hauteur de 130 milliards de francs CFA par la Banque mondiale (BM), l’Agence française de développement (AFD) pour 45 milliards de francs CFA et l’Etat du Sénégal, dont la contribution s’élève à 30 milliards de francs CFA.
Il va couvrir dans sa phase pilote 123 communes et villes dont six dans la région de Fatick : Dioffior, Fatick, Foundiougne, Passy, Sokone et Gossas.
Le secrétaire général de l’Agence de développement municipal (ADM), Mamadou Wade, a rappelé que’’ le PACASEN devrait normalement entrer en vigueur en fin juin 2018’’. Mais à cause des réformes entreprises, il le sera finalement en novembre 2018.
Il a expliqué que le retard noté dans le démarrage du PACASEN s’explique par ’’le fait qu’il fallait une réforme du Fonds d’équipements des collectivités locales (FECL) par une très grande concertation des élus’’. Il a confié que ce fut pas une affaire de tout repos.
‘’Pour l’entrée en vigueur de ce programme, une des modalités à satisfaire par le Gouvernement, c’est de réformer ce fonds, un réceptacle des financements du PACASEN, en quelque sorte le véhicule financier de ce programme’’, a-t-il encore expliqué.
Le programme était initialement prévu sur une durée de cinq ans, de 2018 jusqu’en 2023. Cependant, à cause du retard d’un an accusé dans le démarrage, les réalisations prévues en 2018 seront faites en 2019, a expliqué M. Wade.
Le séminaire d’information a enregistré la participation de toutes les parties prenantes à ce programme dont les partenaires techniques et financiers.
APS