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Aly Haidar promet que ses services vont effectuer des tests pour étudier l’apparition des deux brèches qui menace la langue de barbarie.
‘’Il n’existe pas encore de réponse, mais nous allons effectuer beaucoup de tests. Nous en avons un que nous sommes en train d’exécuter à Rufisque, et un autre à Saly Portudal avec les populations et les hôteliers’’, a dit le ministre en visite jeudi à Saint-Louis.
‘’Cette brèche va surement s’agrandir et les populations sont dans le désarroi parce que la mer est en train de prendre leurs maisons. C’est pour cette raison que nous serons présents aux cotés des préoccupations des populations comme le recommande le président de la République’’, ajoute Haidar.
Il n’a pas écarté l’option de reloger les populations menacées dans d’autres sites éloignées de ces deux embouchures naturelles notant l’existence de 31 ha mis à disposition par le ministère de l’Habitat pour cela.
D’ailleurs, avoue-t-il, ‘’dans les 30 prochaines années, on peut être sur que les solutions seront plutôt des solutions de recasement’’.
L’ouverture de ces deux nouvelles brèches inquiètent les services de pêches de Saint-Louis dont le chef avait récemment adressé une note administrative pour alerter les services compétents sur le danger encouru avec le risque de disparation de la langue de barbarie, la salinisation des zones de cultures et la menace sur la vie des pêcheurs.
‘’Il n’existe pas encore de réponse, mais nous allons effectuer beaucoup de tests. Nous en avons un que nous sommes en train d’exécuter à Rufisque, et un autre à Saly Portudal avec les populations et les hôteliers’’, a dit le ministre en visite jeudi à Saint-Louis.
‘’Cette brèche va surement s’agrandir et les populations sont dans le désarroi parce que la mer est en train de prendre leurs maisons. C’est pour cette raison que nous serons présents aux cotés des préoccupations des populations comme le recommande le président de la République’’, ajoute Haidar.
Il n’a pas écarté l’option de reloger les populations menacées dans d’autres sites éloignées de ces deux embouchures naturelles notant l’existence de 31 ha mis à disposition par le ministère de l’Habitat pour cela.
D’ailleurs, avoue-t-il, ‘’dans les 30 prochaines années, on peut être sur que les solutions seront plutôt des solutions de recasement’’.
L’ouverture de ces deux nouvelles brèches inquiètent les services de pêches de Saint-Louis dont le chef avait récemment adressé une note administrative pour alerter les services compétents sur le danger encouru avec le risque de disparation de la langue de barbarie, la salinisation des zones de cultures et la menace sur la vie des pêcheurs.
