Dans un communiqué transmis à NDARINFO, mardi, l’ODCAV dit tout simplement « prendre acte » du CDD convoqué demain mercredi par le Préfet du département de Saint-Louis « pour perpétuer une tradition afin de préparer l’ouverture de la saison des navetanes.
A Saint-Louis, l’ODCAV ne crie que lorsqu’elle a fin et sombre dans le silence lorsqu’elle se rassasie. Il faut dire que l’on ne s’étonne point de cette démarche maladroite sans diplomatie et courtoisie, en se rappelant des menaces qu’elle avait proférées l’année à l’endroit du maire Mansour FAYE. La structure sportive avait menacé de suspendre la coupe du maire pour recevoir des subventions.
Alors qu’elle avait tout le temps d’entamer le dialogue sur ces points, qui aurait évité ces revendications impétueuses.
Dans son communique, il est dit « nous sommes en droit de ne pas déférer à cette rencontre au regard du mépris et du manque de considération affichés par Madame le Préfet à l’endroit du mouvement navétane en prenant contre toute attente, unilatéralement et sans aucune raison objective, la décision de fermer le stade Me Babacar SEYE à la pratique du football alors que rien fondamentalement ne commandait à le faire », lâche-t-il platement, dans un ton qui frôle l’indiscipline.
Et dire que c’est cette organisation, qui, pour réclamer des « droits », berce dans la défiance, qui représente la jeunesse sportive de Saint-Louis.
Le texte, poursuit, en soutenant, sans anathème, « qu’au regard des promesses toujours faites, mais jamais tenues et des vœux pieux chaque fois entretenus au-delà des absences généralement notées de la part de certaines de nos autorités administratives si ce n’est un semblant de considération à la « chose » navétane qu’elles affichent à l’occasion.
Il continue, « nous sommes en droit de ne rien espérer de ces retrouvailles que nous nous évertuions à préparer minutieusement et à leur accorder le cachet solennel que requiert pour nous pareil événement. En vain ».
NDARINFO
A Saint-Louis, l’ODCAV ne crie que lorsqu’elle a fin et sombre dans le silence lorsqu’elle se rassasie. Il faut dire que l’on ne s’étonne point de cette démarche maladroite sans diplomatie et courtoisie, en se rappelant des menaces qu’elle avait proférées l’année à l’endroit du maire Mansour FAYE. La structure sportive avait menacé de suspendre la coupe du maire pour recevoir des subventions.
Alors qu’elle avait tout le temps d’entamer le dialogue sur ces points, qui aurait évité ces revendications impétueuses.
Dans son communique, il est dit « nous sommes en droit de ne pas déférer à cette rencontre au regard du mépris et du manque de considération affichés par Madame le Préfet à l’endroit du mouvement navétane en prenant contre toute attente, unilatéralement et sans aucune raison objective, la décision de fermer le stade Me Babacar SEYE à la pratique du football alors que rien fondamentalement ne commandait à le faire », lâche-t-il platement, dans un ton qui frôle l’indiscipline.
Et dire que c’est cette organisation, qui, pour réclamer des « droits », berce dans la défiance, qui représente la jeunesse sportive de Saint-Louis.
Le texte, poursuit, en soutenant, sans anathème, « qu’au regard des promesses toujours faites, mais jamais tenues et des vœux pieux chaque fois entretenus au-delà des absences généralement notées de la part de certaines de nos autorités administratives si ce n’est un semblant de considération à la « chose » navétane qu’elles affichent à l’occasion.
Il continue, « nous sommes en droit de ne rien espérer de ces retrouvailles que nous nous évertuions à préparer minutieusement et à leur accorder le cachet solennel que requiert pour nous pareil événement. En vain ».
NDARINFO