Les soutiens "Bring Back our girls" face à l'enlèvement des lycéennes nigérianes se poursuivent à travers le monde. Ici, à Londres. | AFP
L'armée nigériane aurait été prévenue de l'enlèvement des 200 lycéennes par Boko Haram, mais n'a pris aucune mesure immédiate pour l'empêcher, selon Amnesty International.
L'armée nigériane avait été prévenue de l'attaque du groupe islamiste Boko Haram qui a mené, mi-avril, à l'enlèvement de plus de 200 lycéennes, mais n'a pris aucune mesure immédiate pour l'empêcher, déclare Amnesty International vendredi.
« Des témoignages accablants recueillis par Amnesty International révèlent que les forces de l'ordre nigérianes n'ont pas réagi aux avertissements qu'elles ont reçus à propos d'une possible attaque armée de Boko Haram contre le pensionnat du lycée public de Chibok qui a mené à cet enlèvement », a déclaré l'organisation dans un communiqué.
Amesty dit tenir ses informations de « sources crédibles ».
L'armée nigériane avait été prévenue de l'attaque du groupe islamiste Boko Haram qui a mené, mi-avril, à l'enlèvement de plus de 200 lycéennes, mais n'a pris aucune mesure immédiate pour l'empêcher, déclare Amnesty International vendredi.
« Des témoignages accablants recueillis par Amnesty International révèlent que les forces de l'ordre nigérianes n'ont pas réagi aux avertissements qu'elles ont reçus à propos d'une possible attaque armée de Boko Haram contre le pensionnat du lycée public de Chibok qui a mené à cet enlèvement », a déclaré l'organisation dans un communiqué.
Amesty dit tenir ses informations de « sources crédibles ».