La finale départementale de l’Odcav de Rufisque a été émaillée d’incidents qui ont fait un mort et des dizaines de blessés. La rencontre s’est tenue samedi 31 décembre, jour de Saint-Sylvestre. Elle opposait Diongoul Bandoul de Keur Ndiaye Lô à Juuré de Bargny.
À la fin du temps réglementaire, les deux équipes étaient à égalité, 1-1. À cause d’un défaut d’éclairage, l’arbitre a décidé de les renvoyer dos à dos en les invitant à une deuxième édition. Une partie des supporters n’a pas bien accueillie cette décision. Les pierres fusent. Les grenades lacrymogènes suivent. C’est le sauve qui peut.
Dans ce désordre indescriptible, les supporters de Diongoul Bandoul tentent de quitter les lieux à bord de leur véhicule. L’un d’entre eux s’installe sur le toit du car, mais chutera lourdement. Évacué à l’hôpital Youssou Mbargane, il succombera à ses blessures. Des dizaines de blessés, victimes des scènes de violence, ont été enregistrés.
« Ce qui s’est passé n’est lié ni à une mauvaise organisation ni à un manque de sécurité, s'est défendu le président de l’Odcav de Rufisque, Mamadou Diouf Mbengue. Nous avions pris toutes les dispositions nécessaires. C’est quand l’arbitre remettait les licences aux deux capitaines, pour une deuxième édition, le stade ne disposant pas de projecteurs, que les choses ont dégénéré. »
(Source : L’Observateur)
Seneweb
À la fin du temps réglementaire, les deux équipes étaient à égalité, 1-1. À cause d’un défaut d’éclairage, l’arbitre a décidé de les renvoyer dos à dos en les invitant à une deuxième édition. Une partie des supporters n’a pas bien accueillie cette décision. Les pierres fusent. Les grenades lacrymogènes suivent. C’est le sauve qui peut.
Dans ce désordre indescriptible, les supporters de Diongoul Bandoul tentent de quitter les lieux à bord de leur véhicule. L’un d’entre eux s’installe sur le toit du car, mais chutera lourdement. Évacué à l’hôpital Youssou Mbargane, il succombera à ses blessures. Des dizaines de blessés, victimes des scènes de violence, ont été enregistrés.
« Ce qui s’est passé n’est lié ni à une mauvaise organisation ni à un manque de sécurité, s'est défendu le président de l’Odcav de Rufisque, Mamadou Diouf Mbengue. Nous avions pris toutes les dispositions nécessaires. C’est quand l’arbitre remettait les licences aux deux capitaines, pour une deuxième édition, le stade ne disposant pas de projecteurs, que les choses ont dégénéré. »
(Source : L’Observateur)
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