La présidente de la communauté sénégalo-marocaine de Saint-Louis a été la vedette d’une cérémonie de déclamation poétique, organisée hier par le Cercle des Ecrivains et Poètes de Saint-Louis(CEPS) et dédiée aux poètes admis à Poetas del mondu.
‘’C’est un sentiment de fierté que je ressens surtout que cette nomination m’a prise au dépourvu. Je ne savais pas que cette nouvelle serait choisie par la fondation Léopold Sédar Senghor. C’est une joie qui m’envahie ce soir d’être entourée et accompagnée par mes proches‘’, a indiqué Mme Sabah Bengeloune.
Le texte qui s’inspire des réalités sociologiques du pays, ‘’ traite du viol et montre tous les ressentiments qu’éprouve une fille qui a été violée à bas-âge(…) Je suis professeur et je rencontre beaucoup de cas de jeunes filles victimes de ce fardeau. Et j’ai voulu, à travers ce texte, dénoncer cette injustice.’’, a-t-elle dit.
Cette nouvelle s’intitule ‘’délivrance’’ ‘’parce qu'à la fin, la femme se libère de ses tourments après avoir vu beaucoup d’appréhensions dans sa vie de femme et dans sa sexualité’’, a expliqué Mme Benjeloune qui a gratifié au public un extrait de ce texte, accompagnée la par la mélodieuse mélodica de Papa Samba Sow dit Zoumba.
Par ailleurs, interrogée sur les attentes des acteurs littéraires dans ce contexte d’élection présidentielle, la nouvelliste n’y va pas par quatre chemins et exige ‘’une prise en compte et une mise en valeur de la culture’’.
‘’Dans notre pays, la culture reste toujours le parent pauvre. Vous voyez que, pour ce que nous organisons aujourd’hui, nous sommes obligés de faire appel à des sponsors. La culture est le soubassement de tout pays, sans culture on ne peut pas se développer’’, soutient-elle.
Pour elle ‘’les us et coutumes, la tradition de façon générale est le lit du développement d’un pays. Il faudrait qu’on s’y retrouve d’abord culturellement avant de parler d’économie’’.
Cheikh Saad Bou SEYE et Tom Cole(Stagiaire)
‘’C’est un sentiment de fierté que je ressens surtout que cette nomination m’a prise au dépourvu. Je ne savais pas que cette nouvelle serait choisie par la fondation Léopold Sédar Senghor. C’est une joie qui m’envahie ce soir d’être entourée et accompagnée par mes proches‘’, a indiqué Mme Sabah Bengeloune.
Le texte qui s’inspire des réalités sociologiques du pays, ‘’ traite du viol et montre tous les ressentiments qu’éprouve une fille qui a été violée à bas-âge(…) Je suis professeur et je rencontre beaucoup de cas de jeunes filles victimes de ce fardeau. Et j’ai voulu, à travers ce texte, dénoncer cette injustice.’’, a-t-elle dit.
Cette nouvelle s’intitule ‘’délivrance’’ ‘’parce qu'à la fin, la femme se libère de ses tourments après avoir vu beaucoup d’appréhensions dans sa vie de femme et dans sa sexualité’’, a expliqué Mme Benjeloune qui a gratifié au public un extrait de ce texte, accompagnée la par la mélodieuse mélodica de Papa Samba Sow dit Zoumba.
Par ailleurs, interrogée sur les attentes des acteurs littéraires dans ce contexte d’élection présidentielle, la nouvelliste n’y va pas par quatre chemins et exige ‘’une prise en compte et une mise en valeur de la culture’’.
‘’Dans notre pays, la culture reste toujours le parent pauvre. Vous voyez que, pour ce que nous organisons aujourd’hui, nous sommes obligés de faire appel à des sponsors. La culture est le soubassement de tout pays, sans culture on ne peut pas se développer’’, soutient-elle.
Pour elle ‘’les us et coutumes, la tradition de façon générale est le lit du développement d’un pays. Il faudrait qu’on s’y retrouve d’abord culturellement avant de parler d’économie’’.
Cheikh Saad Bou SEYE et Tom Cole(Stagiaire)