« Entre autres études hautement stratégiques en cours de réalisation dans l’agglomération saint-louisienne, celle relative au système de modélisation et de suivi environnemental de la zone côtière permettra, dans un premier temps, d’appréhender les causes de l’érosion côtière, et ensuite, d’identifier la solution durable susceptible d’éradiquer durablement ce phénomène aux conséquences désastreuses aux plans social, économique, environnemental, etc. », a-t-il dit en marge de l'ouverture d'une rencontre de partage des résultats de la capitalisation du Projet de Gestion des Eaux Pluviales et d’Adaptation au Changement Climatique, tenue à Dakar.
« Sans être exhaustif dans l’énumération de ses réalisations, et à quelques jours de la clôture du crédit et du don accordés respectivement par la Banque mondiale et le FEM, nous pouvons énoncer que, dans l’ensemble, les résultats obtenus au travers de la mise en œuvre du PROGEP naguère conçu comme un projet d’urgence, sont plus que satisfaisants ", a-t-il indiqué.
Avec la mise en œuvre de ce projet, plusieurs études innovantes et des instruments d’aide à la décision ont été réalisés. Le Progep a encouragé une meilleure maîtrise de l’occupation des sols et l’intégration de la durabilité et de la résilience dans l’aménagement à l’échelle territoriale. En plus de favoriser une coopération territoriale opérationnelle, l’initiative a suscité une mobilisation communautaire renforcée pour soutenir le développement durable.
Il faut rappeler que l’État du Sénégal, avec le concours technique et financier de la Banque Mondiale, du Fonds Nordique de Développement (FND) et du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), a mis en place en 2012, le Progep, financé à hauteur de 121 millions de dollars US et exécuté par l’Agence de Développement Municipal (ADM). Ce programme, qui a pour objectif de réduire les risques d’inondation dans les zones péri-urbaines de Dakar (Pikine et Guédiawaye) et de renforcer les capacités de planification et de gestion de Villes Durables notamment la résilience au changement climatique dans les zones urbaines sélectionnées (Saint-Louis et Diamniadio), arrive à son terme en fin décembre 2019.
NDARINFO.COM
« Sans être exhaustif dans l’énumération de ses réalisations, et à quelques jours de la clôture du crédit et du don accordés respectivement par la Banque mondiale et le FEM, nous pouvons énoncer que, dans l’ensemble, les résultats obtenus au travers de la mise en œuvre du PROGEP naguère conçu comme un projet d’urgence, sont plus que satisfaisants ", a-t-il indiqué.
Avec la mise en œuvre de ce projet, plusieurs études innovantes et des instruments d’aide à la décision ont été réalisés. Le Progep a encouragé une meilleure maîtrise de l’occupation des sols et l’intégration de la durabilité et de la résilience dans l’aménagement à l’échelle territoriale. En plus de favoriser une coopération territoriale opérationnelle, l’initiative a suscité une mobilisation communautaire renforcée pour soutenir le développement durable.
Il faut rappeler que l’État du Sénégal, avec le concours technique et financier de la Banque Mondiale, du Fonds Nordique de Développement (FND) et du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), a mis en place en 2012, le Progep, financé à hauteur de 121 millions de dollars US et exécuté par l’Agence de Développement Municipal (ADM). Ce programme, qui a pour objectif de réduire les risques d’inondation dans les zones péri-urbaines de Dakar (Pikine et Guédiawaye) et de renforcer les capacités de planification et de gestion de Villes Durables notamment la résilience au changement climatique dans les zones urbaines sélectionnées (Saint-Louis et Diamniadio), arrive à son terme en fin décembre 2019.
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