Les services de la météorologie nationale ont émis des "avis" de "vent assez fort" et de "houle dangereuse", sur la côte sénégalaise, à partir de ce jeudi, à 18h.
Il s’agit d’un "vent momentanément assez fort", dont la vitesse pourra "atteindre ou dépasser 40 kilomètres par heure, sur toute la côte, entre jeudi 12 mai à 18h et vendredi 13 mai à 12h", selon un bulletin reçu de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
Ce vent va concerner la Grande Côte (de Dakar à Saint-Louis), Dakar, la Petite Côte (de Dakar à Joal-Fadiouth) et la Casamance (sud), précise l’ANACIM.
La "houle dangereuse" va "atteindre ou dépasser 2,5 mètres" et concerner la grande côte (de Dakar à Saint-Louis) et Dakar, "entre jeudi 12 mai à 18h et vendredi 13 mai à 6h".
Face à ces phénomènes météorologiques, "une vigilance absolue s’impose", selon l’ANACIM.
APS
"Des phénomènes dangereux d’intensité exceptionnelle sont prévus. Tenez-vous régulièrement au courant de l’évolution de la situation et respectez impérativement les consignes de sécurité émises par les pouvoirs publics", conseille l’agence chargée de la météorologie.
Il s’agit d’un "vent momentanément assez fort", dont la vitesse pourra "atteindre ou dépasser 40 kilomètres par heure, sur toute la côte, entre jeudi 12 mai à 18h et vendredi 13 mai à 12h", selon un bulletin reçu de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
Ce vent va concerner la Grande Côte (de Dakar à Saint-Louis), Dakar, la Petite Côte (de Dakar à Joal-Fadiouth) et la Casamance (sud), précise l’ANACIM.
La "houle dangereuse" va "atteindre ou dépasser 2,5 mètres" et concerner la grande côte (de Dakar à Saint-Louis) et Dakar, "entre jeudi 12 mai à 18h et vendredi 13 mai à 6h".
Face à ces phénomènes météorologiques, "une vigilance absolue s’impose", selon l’ANACIM.
APS
"Des phénomènes dangereux d’intensité exceptionnelle sont prévus. Tenez-vous régulièrement au courant de l’évolution de la situation et respectez impérativement les consignes de sécurité émises par les pouvoirs publics", conseille l’agence chargée de la météorologie.