Le parc de Dioudj est menacé par des plantes qui envahissent l’espace géologique. Sur les 16.000 hectares, il ne reste plus de nos jours que six mille occupés par les oiseaux pour se nourrir et se reproduire. Les conservateurs de ce parc pointent un doigt accusateur en direction des plantes aquatiques et celles ornementales qui sont de plus en plus envahissantes.
Le parc fait 16 000 hectares et avec la prolifération des plantes aquatiques et d’autres plantes qui ne sont pas très liées à l’eau comme le tamarix, nous avons perdu au moins 10 000 hectares d’eau et il ne reste dans le parc que 6 000 où les oiseaux peuvent trouver de la nourriture, nager, passer la journée », a averti le Colonel Ibrahima Diop conservateur dudit parc.
Dakaractu
Le parc fait 16 000 hectares et avec la prolifération des plantes aquatiques et d’autres plantes qui ne sont pas très liées à l’eau comme le tamarix, nous avons perdu au moins 10 000 hectares d’eau et il ne reste dans le parc que 6 000 où les oiseaux peuvent trouver de la nourriture, nager, passer la journée », a averti le Colonel Ibrahima Diop conservateur dudit parc.
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