Le parc du Diawling est situé à 5 km du parc sénégalais pour la conservation des oiseaux le Djdouj, où 750 pélicans sont morts récemment de la grippe aviaire. Ce n’est donc pas une surprise si le même phénomène se produit en Mauritanie.
Créée en 1991, la réserve protégée du Diawling se trouve à 230 km Nouakchott, dans le sud de la Mauritanie. Avec une superficie de 16. 000 hectares, la réserve offre un espace naturel adapté à la bonne conservation des espèces végétales et animales. Les oiseaux, notamment les pélicans blancs, constituent une importante partie de la biodiversité du parc.
C’est pourquoi, peu après l’alerte donnée par le conservateur national sur la découverte des carcasses de pélicans, les autorités ont ordonné la cessation de toutes activités humaine sur le site et ses environs. Une délégation représentant plusieurs ministères s’était, auparavant, rendue sur place pour mieux évaluer la situation. C’est après son passage qu’a été lancée une campagne de sensibilisation demandant aux populations d’éviter de manipuler les carcasses des oiseaux morts de la grippe aviaire.
La fermeture du parc est synonyme de chômage pour son personnel, mais aussi, d'une chute d’activité pour les populations riveraines qui vivent de l’agriculture et de l'élevage.
RFI
Créée en 1991, la réserve protégée du Diawling se trouve à 230 km Nouakchott, dans le sud de la Mauritanie. Avec une superficie de 16. 000 hectares, la réserve offre un espace naturel adapté à la bonne conservation des espèces végétales et animales. Les oiseaux, notamment les pélicans blancs, constituent une importante partie de la biodiversité du parc.
C’est pourquoi, peu après l’alerte donnée par le conservateur national sur la découverte des carcasses de pélicans, les autorités ont ordonné la cessation de toutes activités humaine sur le site et ses environs. Une délégation représentant plusieurs ministères s’était, auparavant, rendue sur place pour mieux évaluer la situation. C’est après son passage qu’a été lancée une campagne de sensibilisation demandant aux populations d’éviter de manipuler les carcasses des oiseaux morts de la grippe aviaire.
La fermeture du parc est synonyme de chômage pour son personnel, mais aussi, d'une chute d’activité pour les populations riveraines qui vivent de l’agriculture et de l'élevage.
RFI