Dans ces dernières sorties relatives à la tragédie maritime qui frappe la Langue de Barbarie, le maire de Saint-Louis Mansour FAYE annonce, à souhait, l’installation de brise-lames pour stabiliser la mer et sauver ce quartier mythique, berceau de l’histoire Saint-Louisienne.
Cette proposition est fermement jugée « inadéquate » par les experts de l’environnement qui rappelle que la plage de Saint-Louis est sablonneuse donc, « inapte à recevoir de tels ouvrages ». Contrairement à la morphologie de sites Dakarois et quelques autres de la petite cote, composées essentiellement de roches et de falaises.
Mises en place sur la façade maritime, les brise-lames vont s’enliser avec le sable de la Langue de barbarie, en constante mouvance. « Des milliards seront jetées dans les profondeurs de l’océan », avertit un technicien.
Pourtant, lors de sa dernière visite à Guet-Ndar et Gocu Mbacc pour s’imprégner de l’ampleur des dégâts, le ministre de l’Environnement et du Développement durable Abdoulaye Bibi BALDE, offre, lui, l’ensablement et le dragage comme solutions.
Par ailleurs, à la place de conséquences de changements climatiques brandis par l’édile de la ville par ailleurs ministre de l’Environnement et de l’hydraulique, les environnementalistes expliquent que ces manifestations désastreuses sont dues à une « avancée de la mer ». Un phénomène cyclique et sécuritaire. Le mur de protection installé par le colon qui sert aujourd’hui de dernier rempart, en est la parfaite illustration.
« Nous ne vivons pas encore les changements climatiques à Saint-Louis », corrige, ce spécialiste de l’écologie.
Accroché à sa logique, Mansour FAYE a d’ailleurs décidé d’organiser une randonnée pédestre de sensibilisation sur « les changements climatiques ».
Il va en profiter « pousser ensemble un cri de cœur vibrant au monde entier, car, dit-il, sur la page Facebook de la Mairie, cette menace dépasse les compétences de la Commune de Saint-Louis ».
NDARINFO
Cette proposition est fermement jugée « inadéquate » par les experts de l’environnement qui rappelle que la plage de Saint-Louis est sablonneuse donc, « inapte à recevoir de tels ouvrages ». Contrairement à la morphologie de sites Dakarois et quelques autres de la petite cote, composées essentiellement de roches et de falaises.
Mises en place sur la façade maritime, les brise-lames vont s’enliser avec le sable de la Langue de barbarie, en constante mouvance. « Des milliards seront jetées dans les profondeurs de l’océan », avertit un technicien.
Pourtant, lors de sa dernière visite à Guet-Ndar et Gocu Mbacc pour s’imprégner de l’ampleur des dégâts, le ministre de l’Environnement et du Développement durable Abdoulaye Bibi BALDE, offre, lui, l’ensablement et le dragage comme solutions.
Par ailleurs, à la place de conséquences de changements climatiques brandis par l’édile de la ville par ailleurs ministre de l’Environnement et de l’hydraulique, les environnementalistes expliquent que ces manifestations désastreuses sont dues à une « avancée de la mer ». Un phénomène cyclique et sécuritaire. Le mur de protection installé par le colon qui sert aujourd’hui de dernier rempart, en est la parfaite illustration.
« Nous ne vivons pas encore les changements climatiques à Saint-Louis », corrige, ce spécialiste de l’écologie.
Accroché à sa logique, Mansour FAYE a d’ailleurs décidé d’organiser une randonnée pédestre de sensibilisation sur « les changements climatiques ».
Il va en profiter « pousser ensemble un cri de cœur vibrant au monde entier, car, dit-il, sur la page Facebook de la Mairie, cette menace dépasse les compétences de la Commune de Saint-Louis ».
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